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Un fait divers tragique vient de secouer la paisible commune de Moncé-en-Belin, située dans le département de la Sarthe. La découverte macabre d’un corps dans un établissement commercial automobile soulève de nombreuses questions, alors que les forces de l’ordre déploient d’importants moyens pour faire toute la lumière sur cette affaire.
Un décès suspect dans un garage de véhicules d’occasion
Dans la nuit de dimanche à lundi, le corps sans vie d’un individu a été découvert dans un garage automobile à Moncé-en-Belin. La victime présentait des blessures par arme à feu, laissant peu de doute sur la nature violente de son décès.
Les circonstances exactes de cette mort restent à élucider, mais les premiers éléments de l’enquête orientent les investigations vers une piste criminelle.
Le corps a été retrouvé au fond d’une impasse, dans un établissement spécialisé dans la vente de voitures d’occasion. Cette localisation isolée pourrait constituer un élément important pour les enquêteurs chargés de l’affaire.
Une enquête en cours avec d’importants moyens déployés
Face à la gravité des faits, la procureure du Mans s’est rapidement exprimée sur l’affaire. Selon ses déclarations, « l’hypothèse criminelle est fortement présumée », confirmant ainsi les soupçons d’homicide.
Concernant l’horaire précis du drame, les autorités ont indiqué que le décès « a eu lieu dans la nuit » tout en précisant que « l’heure exacte n’a pas encore été déterminée ».
Des recherches d’indices élargies
Pour ne négliger aucune piste, les forces de l’ordre ont mobilisé des moyens conséquents. Une équipe spécialisée de plongeurs de la gendarmerie a notamment été déployée pour inspecter minutieusement le plan d’eau situé à proximité immédiate du garage.
Cette opération de recherche subaquatique pourrait permettre de retrouver d’éventuels éléments de preuve liés à ce crime présumé.
L’identité de la victime en question
Un point important de l’enquête concerne l’identité de la victime et ses liens avec l’établissement où son corps a été découvert. Les enquêteurs ont d’ores et déjà établi que l’homme décédé n’était pas le propriétaire du garage.
Sa relation avec l’entreprise « reste à établir », selon les déclarations officielles. Cette zone d’ombre constitue un axe majeur des investigations en cours, qui pourraient permettre de déterminer le mobile de cet acte violent.
