Guerre en Ukraine : Pour le Kremlin, rien de "prometteur" dans les négociations de paix
Guerre en Ukraine : Pour le Kremlin, rien de « prometteur » dans les négociations de paix. « Il reste encore beaucoup de travail à faire », a déclaré mercredi à la presse le porte-parole du président russe Dmitri Peskov.
Reprise des pourparlers
Les pourparlers entre les délégations russe et ukrainienne à Istanbul mardi n’ont abouti à aucune « très prometteur » ni à aucune « percée« . C’est ce qu’a annoncé mercredi 30 mars le Kremlin, ébranlant les espoirs d’avancées décisives dans les pourparlers pour mettre fin au conflit qui ravage l’Ukraine depuis plus d’un mois. « Il reste encore beaucoup de travail à faire », a déclaré le porte-parole présidentiel russe Dmitri Peskov aux journalistes.
Aucun calme n’a été observé en Ukraine
Vyacheslav Chaus, chef de l’administration d’État pour la région de Tchernihiv (nord de l’Ukraine), a déclaré que Moscou s’était engagé à réduire l’activité militaire russe après les pourparlers à Istanbul, mais rien n’a été observé dans la région. Le gouverneur de la région a déclaré que l’artillerie et les avions de l’armée russe « ont bombardé Tchernihiv toute la nuit« .
Les Américains sceptiques
Le porte-parole du département américain de la Défense, John Kirby, a exprimé des doutes sur les intentions de la Russie mardi soir après avoir promis de réduire les activités militaires autour de Kiev et dans la région de Tchernihiv. Il ne s’agit que d’un « repositionnement » de l’armée russe, pas d’un « véritable retrait« . « Nous verrons s’ils tiennent parole« , a également déclaré le président américain Joe Biden aux journalistes peu après des réunions avec les dirigeants français, britannique, allemand et italien.
Discussion entre Macron et Poutine
Après un appel téléphonique avec Emmanuel Macron, Vladimir Poutine a posé la reddition des troupes ukrainiennes défendant la ville comme condition à l’évacuation des civils de Marioupol. Le président français estime que les conditions de lancement d’une opération humanitaire pour venir en aide aux habitants de Marioupol dans les prochains jours ne sont « pas réunies à ce stade« .
Que voulait Poutine à la base? c’est à cette question qu’il faut répondre!
-la Crimée avait été rattachée à l’Ukraine du temps de l’URSS; avant elle était rattachée à la Russie. C’est la volonté des USA d’étendre l’OTAN au pays de l’EST qui a déclenché la réaction de Poutine concernant la Crimée.
-l’Ukraine s’était engagé à rester neutre et non nucléraire militairement; en rejoignant l’OTAN, les américains auraient pu installer des missiles en Ukraine et des bateaux dans le port d’Odessa. Rappelons nous l’affaire des missiles à Cuba du temps de Kennedy. Qu’avaient tenté les américains à cette époque sinon d’envahir Cuba!
-la pertie est de l’Ukraine étant à forte population d’origine russe, une certaine indépendance devait être accordée par les accords de Minsk. un système fédéral aurait dû être mis en place. Au lieu de cela Kiev a voulu écraser cette demande par les armes. Que penserions nous si Paris décidait de reduire par les armes les mouvements indépendantistes corses ou calédoniens?
Il faut en finir de traiter les russes comme les méchants et les américains comme les bons. Tout n’est qu’influence géopolitique et commerciale.
Il faut éviter d’attiser les haines et faire en sorte que les ukrainiens retrouvent la paix
Vous avez peut etre raterrrrrrr…..
Vous avez peut etre raterrrrrrrrr…..quelle honte !!!
Remarque incompréhensible ! Qu’avez-vous voulu exprimer ? ? ?