Depuis un mois l’affaire du chantage à la sextape de Saint Étienne fait couler de l’encre. À la date anniversaire des révélations s’est tenu le conseil municipal, l’ambiance tendue était palpable.
« En aucun cas le conseil municipal ne peut se transformer en tribunal »
Depuis un mois les masques tombent dans la mairie de Saint Étienne. Si le maire a fait son entrée sous les caméras, certains absents donnent le ton. Gilles Artigues, victime du chantage à la sextape n’est pas présent. Ni Samy Kéfi-Jérôme, accusé de la manoeuvre, qui a démissionné de ses fonctions à la mairie le 23 septembre dernier.
La salle du conseil était plus fournie qu’à son habitude et la tension palpable. Une centaine de délibérations sont à l’ordre du jour, le conseil commencé à 14h30 finira peut avant 20h. Le maire ne pourra échapper aux injonctions de certains.
D’entrée de jeu l’opposition a demandé la démission du maire de Saint-Étienne : « Remettre en cause ma légitimité, c’est remettre en cause ma présomption d’innocence » a renchéri Gaël Perdriau. « En aucun cas le conseil municipal ne peut se transformer en tribunal ».
De nouvelles accusations
Depuis l’affaire de la sextape, Gaël Perdriau est de nouveau dans le collimateur de la justice. Selon France Info, il serait suspecté de favoritisme et de non respect de la mise en concurrence pour des contrats culturels. Celui-ci aurait favorisé l’entreprise C Kel Prod, à deux reprises durant sur la période 2020/2021. Marie Zambardi, la directrice, soutenait la candidature du maire lors des dernières élections.
Un pot de départ fictif était organisé par différents collectifs devant la mairie à l’occasion du conseil municipal. Drapeaux LGBT de mise, certaines associations soulignent l’homophobie révélée par l’affaire au sein des bureaux de la mairie.
Et les femmes en tenue islamique elles vous agressent ? Vous oppriment ? Elles vont on fait quoi au juste ? Concentrez-vous sur ceux qui vous harcèlent parce qu’ils ne savent pas se retenir devant une jupe ou un chemisier. Ces femmes avec leur tenue, ne vous ont rien fait, foutez- leur la paix. Elles ont le droit de se couvrir tout comme vous avez le droit de cous vêtir légèrement. Votre haine de l’autre elle devient irrationnelle.
Ces femmes sont les sœurs ou les génitrices de ces jeunes qui se croient des hommes mais ne sont que de la m…
qu’est ce qu’on attend pour les virer définitivement toutes ces racailles que ce gouvernement et le précédent ont fait venir en force, sans oublier de VIRER ceux qui sont aux manettes du pouvoir
Oui , pauvre ville à l’image de bien d’autres.