1. Revalorisation du SMIC
Le salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) sera augmenté de 2 %. Il sera désormais d’environ 1 426 euros net mensuel. Cela permettra d’aider à compenser l’inflation et à améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs.
2. Trêve hivernale
La période de trêve hivernale débute le 1er novembre et sera en vigueur jusqu’au 31 mars 2025. Cette mesure suspend les expulsions locatives pour protéger les locataires durant l’hiver.
3. Obligations liées à la sécurité routière
Dans 34 départements, les pneus hiver, chaînes ou chaussettes de neige seront obligatoires pour renforcer la sécurité routière pendant les mois d’hiver
4. Augmentation des retraites complémentaires
Les pensions de retraite complémentaire Agirc-Arrco augmentent de 1,6 %. Mais cette augmentation reste inférieure à l’inflation, qui est estimée à 1,8 %.
5. Mois sans tabac
Novembre est aussi le mois sans tabac qui est une initiative incitant les fumeurs à arrêter de fumer pendant un mois (voire plus!). Des outils de soutien, comme une application et un service téléphonique, sont mises à disposition pour aider les participants.
6. Échéances fiscales
De nouvelles échéances fiscales entrent en jeu : les contribuables devront les respecter (notamment pour l’impôt sur la fortune immobilière et les prélèvements de l’impôt sur le revenu) et planifier au mieux leurs obligations fiscales.
7. Indemnité différentielle pour les agents publics
Une nouvelle indemnité sera introduite pour compenser les différences salariales chez les agents publics, en lien avec l’augmentation du SMIC, visant à soutenir les fonctionnaires face à l’inflation
8. Évolution des règles sur l’assurance emprunteur
Les règles concernant la résiliation des contrats d’assurance emprunteur seront assouplies, permettant aux consommateurs de changer d’assureur plus facilement, ce qui pourrait renforcer la concurrence sur le marché de l’assurance
Bonjour à tous les critiqueurs généralistes, j’ai travaillé pendant 42 ans en qualité d’Assistante de direction avec des journées débutant à 7 h et se terminant à 19 h 30 pendant de nombreuses années parce que j’ai toujours aimé mon métier.
Bien sûr je ne peux en apporter la preuve. Les quelques témoignages des anti-fonctionnaires que je lis ci-dessus sont peut-être réels mais ce ne sont que quelques exemples rares à mon sens.
Mon expérience m’a prouvé que la plupart des agents publics sont sérieux et ne ressemblent en rien à ces tristes caricatures qui ont la vie dure.
A bon entendeur, salut !
En réponse aux deux derniers commentaires.
Bien sûr qu’ils y à des fonctionnaires totalement investi par leurs missions aux services du publics.
Mais comme les poissons volants dans le monde aquatique, ils ne font pas la majorité.
J’en ai connu plusieurs dans mon ex belle famille, composé de quelques joyeux glandeurs.
Il y a certainement des fonctionnaires méritant de gagner plus : soignants, police, pour les enseignants c’est déjà plus difficile à dire… La plupart du temps ceux là sont arrivés à devenir fonctionnaires en travaillant en passant des examens, des concours. Je me demande quel besoin d’augmenter fils et filles de cherzélus et de vaillants syndicalistes arrivés là par piston. J’ai le souvenir des séances, à la brasserie de midi, à la table à côté : « combien il te reste de jours de maladie ? », « combien il te reste de jours d’enfant malade ? » « combien il te reste de jours d’allergie ? » « combien il te reste de jours de règles douloureuses ? » Ces braves gens se calculaient des ponts, des viaducs pour tous les week-ends du mois.
Désolé Monsieur Ciochetti, mais votre discours est inacceptable : une véritable caricature émaillée de mensonges…
J’étais moi-même enseignant, n’ai pas entendu ce genre de discours et pense avoir fait mon travail comme il convient.
Ce n’est pas en agressant les autres que l’on fait avancer les choses, bien au contraire !
Cordialement,
Christian FERRAN
Pourtant Monsieur c’est la réalité… moi j’ai connu cela à la sécurité sociale où ces messieurs et dames se faisaient livrer le vin et autre bouteilles pour les fêtes et ne se souciaient absolument pas des personnes qui attendaient leur bon-vouloir pour que l’on s’occupe d’eux. A l’époque j’avai un bras platré du poignet jusqu’au dessus du coude car aucune articulation ne devait bouger et j’étais debout… certaines personnes me sont passées devant et j’étais debout à attendre en essayant de ne pas les traiter de tous les noms.
MALHEUREUSEMENT POUR VOUS JE L AI ENTENDU J AVAIS DES AMIS FONCTIONNAIRES QUI PRENAIENT LEUR RESTE DE JOURS MALADIES POUR VENIR CHEZ NOUS
Je pense qu’il vous faut sortir un peu. Quand j’allais voir il y a longtemps le secrétaire du club de natation à la mairie (qui le payait); il y avait à côté de lui un gros bonhomme jovial qui tapait à la machine sans arrêt. J’ai fini par lui demander pourquoi il avait tant de travail alors que les autres étaient cools. « Oh si je travaille normalement, me dit-il, le lundi midi j’ai terminé ma semaine… Alors je me suis trouvé un petit éditeur, et je lui écris des romans pornos à la chaîne ». Je vous raconte uniquement ce que j’ai vu et entendu. Quand aux ramasseurs de poubelles de Marseille qui travaillent en équipe de trois, un jour le ramasseur de droite et malade, le camion ne part pas, le lendemain c’est le ramasseur de gauche et le troisième jour c’est le chauffeur. Trois jours de repos. Même système à chaque grève…