Depuis 2009, cinq personnes provenant de la même rue du village de Saint-Vaast-en-Chaussée, sont décédées de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), aussi dite Maladie de Charcot. L’Agence régionale de santé a saisi Santé Publique France, selon nos confrères du Courrier Picard.
Cinq cas dans la même rue, à quelques mois d’intervalle
Selon le Courrier Picard, Pierre Gamain succombe à la maladie le 30 mars 2009, il a 77 ans. « Mon mari a été le premier. Au début 2008, grand marcheur, il butait et se plaignait de douleurs dans les jambes. » témoigne sa femme, Françoise. Normalement, la mort du patient arrive dans les 3 à 5 années après le diagnostic. Mais dans le cas de Pierre, il est décédé en à peine quelques mois, il avait été diagnostiqué en octobre octobre.
Depuis, il a y eu quatre autres femmes du village qui sont décédées de la même maladie : elle avaient 61 ans, 68 ans, 70 ans et 66 ans. Au troisième cas déjà, ils préviennent l’Agence régionale de santé des Hauts-de-France, mais on leur répond qu‘ils sont dans les normes statistiques, même pour un village de 500 habitants.
Des investigations sont en cours mais les habitants n’en savent pas plus, un silence pesant
Alors au quatrième décès qui survient pour la même raison, et suite à cette première alerte déboutée, ils ont commencé à correspondre par recommandé avec accusé de réception.
« Les investigations sont en cours » a assuré l’Agence régionale de santé des Hauts-de-France à BFMTV.com. Mais la fille d’une des victimes, décédée en 2022, déplore tout le silence gardé autour de l’enquête : « D’où ça peut venir? Ce qui est intriguant, c’est que tous ces cas se sont déclarés à quelques années, voire quelques mois d’intervalle. »
Dans une commune voisine de 300 habitants c’est des cas de sclérose en plaques sur 3 ou 4 femmes
qui avait comme particularité d’être dans la même classe de l’école communale dans les années 60 .
Le CHU d’Angers = centre SLA (sclérose latérale amyotrophique) ou maladie de CHARCOT mène dès janvier une recherche active sur l’épidémiologie de cette maladie pour repérer d’éventuels clusters dans les Pays de la Loire : Quel CHU dans les Hauts de France pourrait aussi s’y attacher ???? Cela me paraitrait aussi intéressant
les gouvernements sont nuls a « chier »
Ce qui est inquiétant c’est qu’en 30 ans (mon père est mort de cette maladie à 53 ans) la recherche n’a pas progressé d un iota alors qu’il y a de plus en plus de cas !
En 2oo5 à courthezon vaucluse un quartier de 10 maisons a vu 3 personnes atteintes et mourir de cette maladie .nous avons été inondés 3 fois 50 à 1.50 m et nous n’avons pas le tout-à-l’égout