Qui est pauvre en France aujourd'hui ?
Qui est pauvre en France aujourd’hui ? En France, 9 millions de personnes souffrent de précarité. La pauvreté touche 38,9% des chômeurs et 32,5% des inactifs (hors chômeurs et retraités).
Des chiffres alarmants
Les chiffres de l’INSEE de mardi 15 février montrent que les ménages monoparentaux, les chômeurs, les indépendants et les jeunes… Certains sont plus vulnérables à la pauvreté que d’autres. En France, 9 millions de personnes souffrent de précarité.
Selon l’Office national des statistiques, près de 33 % des ménages monoparentaux, soit un quart des ménages français, vivent en dessous du seuil de pauvreté, contre 14,6 % de la population française. Les enfants qui vivent avec leur mère (80 % des ménages monoparentaux) sont plus souvent en situation de pauvreté que les enfants qui vivent avec leur père.
Un pauvre sur deux est jeune
Les jeunes sont représentés de manière disproportionnée parmi les groupes économiquement défavorisés. Selon les données 2017 de la Direction des Statistiques du Ministère des Affaires Sociales (DREES), une personne sur deux en situation de pauvreté a moins de 30 ans (36 % de la population appartient à cette tranche d’âge).
Selon l’INSEE, la pauvreté touche 38,9% des chômeurs et 32,5% des inactifs (hors chômeurs et retraités), contre 14,6% des Français. En 2019, 2 millions de travailleurs étaient considérés comme pauvres. Les femmes, les personnes nées à l’étranger et les jeunes sont particulièrement touchés, car ils sont plus susceptibles d’occuper des emplois non qualifiés, précaires ou à temps partiel.
Les indépendants sont également vulnérables, avec un taux de pauvreté de 17,6% contre 6,8% pour les salariés. Cette catégorie hétérogène comprend principalement des agriculteurs, des commerçants, des artisans, voire des professions libérales.
Pourquoi tant de pauvres? simplement parce que tout nous incite à vivre chacun chez soi!
-Avant les jeunes vivaient sous le même toit que leurs parents et ce jusqu’au mariage. un jeune chômeur pourrait vivre chez ses parents et ne serait alors plus classé dans les pauvres.
-les familles mono parentales étaient peu fréquentes avant, et en cas de coup du sort, les femmes revenaient vivre chez leurs parents. la encore cela ferait diminuer le nombre de pauvres.
-l’immigration est incitée par les aides, et contrairement à d’autres pays nous ne faisons pas une immigration choisie. la encore des moyens sociaux sont utilisés pour loger les migrants illégaux qui sont eux aussi pauvres car sans revenu.
Je connais des migrants jeunes menacés dans leur pays, présents en FRANCE sans avoir le droit d’y travailler.
Ils sont compétents et dynamiques mais exclus du marché du travail ; cette exclusion est un mauvais choix pour la FRANCE, privée de cotisations sociales et un drame pour eux et leurs enfants nés en FRANCE.
La délivrance de titres de séjour à ce couple parlant parfaitement le français et dynamique serait bien préférable…