Opération très délicate
Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères, en charge de ces dossiers, «les mineurs ont été remis aux services chargés de l’aide à l’enfance et feront l’objet d’un suivi médico-social. Les adultes ont été remises aux autorités judiciaires compétentes». Parmi les enfants, il y a sept orphelins. Les femmes sont âgées de 19 à 42 ans. Les profils ne sont pas anodins: trois d’entre elles qui étaient visées par un mandat d’arrêt vont être présentées dans la journée à un juge d’instruction antiterroriste en vue de leur mise en examen, tandis que les 12 autres, qui faisaient l’objet d’un mandat de recherche, ont été placées en garde à vue dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure.
En effet, ces femmes font partie de ces Françaises qui s’étaient rendues volontairement dans les territoires contrôlées par les groupes djihadistes en zone irako-syrienne et qui ont été capturées lors de la chute de l’Organisation de l’État islamique en 2019. Les enfants sont pour nombre d’entre eux nés sur place. Le Collectif des familles unies, qui regroupe des familles de Français partis en zone irako-syrienne, a salué dans un communiqué «une excellente nouvelle, qui semble sceller le renoncement à la politique du “cas par cas”, qui consistait à rapatrier arbitrairement tel ou tel enfant».
Macron veut poursuivre les rapatriements
Le Collectif des familles unis ajoute que «ce n’est pas fini: ceux qui restent attendent». «La France a commencé à rapatrier de façon importante: il faut maintenant aller jusqu’au bout». «Je souhaite que tous ces enfants reviennent le plus vite possible, quatre années de procédure c’est très long et c’est surtout le temps de toute une enfance», a abondé auprès de l’AFP Marie Dosé, avocate de nombre de ces femmes. «Je ne peux imaginer que la France laisse plus de 150 enfants, plus de 60 mères dans des camps dans le Nord-Est syrien, pour un cinquième hiver». Elle oublie un peu vite la complexité de tels retours car on parle de familles terroristes qui ont été volontairement faire la guerre en Syrie.
Cependant, ça n’empêche pas le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, a déclaré sur LCI qu’il restait «encore quelques dizaines d’autres enfants à rapatrier». «Il y aura quelques mouvements de rapatriement collectifs. Cela se fait progressivement», a-t-il dit. On comprend que le sujet soit sensible en France, frappé à plusieurs reprises par des attentats djihadistes, et particulièrement ceux du 13 novembre 2015 à Paris et en banlieue parisienne qui ont fait 130 morts, fomentés par l’organisation de l’État islamique (EI).
Et allez! Les putes à bougnouls et leurs rejetons qui ont x pères c’est pour nous!!!
après avoir payé pour les attentats commis par les islamistes il va falloir encore payer pour ces femmes qui ont choisi VOLONTAIREMENT d’aller dans le califat et maintenant elle demande l’aide de la France qu’elles ont haït et prendre en charge leurs gamins qui eux n’y sont pour rien . Je pense qu’elles sont une source potentielle de troubles …
c’est certain, que beaucoup peuvent être choqués, mais oui il faut les faire revenir, des cerveaux fragiles qui ont été rincés à grand coup de karcher pendant des mois et des années, qui sont les fautifs, les parents, l’école, l’état qui n’ont rien fait et aujourd’hui on voudrait les laisser pourrir au milieu de ces fanatiques….Oui il faut les rapatriés , oui les remettre aux autorités compétentes et les prendre en charge sur le plan mental