Mort de Federico Martin Aramburu : Une femme mise en examen pour complicité d’assassinat

Mort de Federico Martin Aramburu : Une femme mise en examen pour complicité d’assassinat. L’ancien international argentin Federico Martin Aramburu a été tué de plusieurs balles après une altercation avec d’autres clients à la terrasse d’un bistrot du VIe arrondissement de Paris entre samedi et dimanche soir.

Une femme a été mise en examen pour « complicité d’assassinat » de l’ancien international de rugby argentin Federico Martin Aramburu dans le VIe arrondissement de Paris, samedi. La femme, qui a été interpellée samedi, a également été mise en examen pour « refus de remettre la convention de déchiffrement d’un moyen de cryptologie », de sources judiciaires. Elle est soupçonnée d’avoir conduit la voiture où le premier coup de feu a été tiré sur la victime. Elle a été placée en détention.

Deux autres suspects, deux hommes, restent recherchés, selon des sources proches du dossier. Ils sont susceptibles d’être lourdement armés.

France Bleu Pays Basque a indiqué que les obsèques de l’ancien rugbyman auront lieu samedi à 14 heures en l’église Sainte-Eugénie de Biarritz. Ses anciens coéquipiers prévoient de lui rendre un dernier hommage.

Le principal suspect dans la mort de l’ancien rugbyman Federico Martin Aramburu à Paris samedi, Loïk Le Priol, a été interpellé en Hongrie, a appris la télévision française auprès du parquet de Paris mercredi 23 mars. Le jeune homme de 27 ans, ancien militaire et membre du mouvement d’extrême droite GUD, aurait tué par balle l’ancien rugbyman décédé sur le coup. Il a été arrêté alors qu’il conduisait lors d’un contrôle aux frontières, selon des personnes proches du dossier. Un autre homme, également actif à l’extrême droite, reste recherché.

Un troisième suspect a été interpellé dans le cadre d’une enquête sur la mort de l’ancien rugbyman Federico Martin Aramburu à Paris le mercredi 23 mars. Le suspect, qui appartient à l’extrême droite centriste, a été activement poursuivi, a été interpellé dans la Sarthe, et a reçu des informations françaises par voie judiciaire.