Courant janvier 2025, le fisc versera l’avance sur les crédits et réductions d’impôt. Or, vous devez savoir que vous avez jusqu’au 12 décembre 2024 pour corriger ou renoncer à cette avance. Ainsi, vous pourrez éviter les trop-perçus et donc les remboursements aux impôts. Nous vous expliquons ici de quoi il s’agit et comment procéder.
Crédits d’impôt et dons aux associations dans le viseur du fisc
Plus de 9 millions de contribuables qui ont eu droit à un crédit ou à une réduction d’impôt cette année selon nos confrères du site Droit-finances.com. Par exemple, si vous avez déclaré, au printemps dernier, avoir employé un salarié à domicile pour de la garde d’enfants, de l’assistance aux personnes âgées, des petits travaux de jardinage, etc., vous avez bénéficié d’un crédit d’impôt égal à 50 % de ces dépenses. De la même façon, les dons aux associations donnent aussi droit à une réduction de l’impôt sur le revenu. Mais, les crédits d’impôt ne sont pas déduits des prélèvements mais sont reversés à la mi-janvier. En fonction des informations fournies dans la prochaine déclaration, vous pourrez avoir le solde à l’été 2025.
Tout faire pour bien calculer ses impôts
Si vos frais ont diminué entre 2023 et 2024, alors l’avance faite aura été surévaluée. Par conséquent, l’administration fiscale va vous demander un remboursement en septembre. Ainsi, le fisc vous permet de modifier votre déclaration afin d’éviter ce trop-perçu. Le mail envoyé aux administrés par la Direction générale des Finances publiques indique que «vous pouvez dès à présent réduire ou renoncer à cette avance, en vous rendant dans votre espace particulier sur impots.gouv.fr, rubrique « Gérer mon prélèvement à la source », menu « Gérer vos avances de réductions et crédits d’impôt »». Et d’ajouter que «vous avez jusqu’au 12 décembre pour modifier ou renoncer à l’avance de janvier 2025 et, ainsi éviter d’avoir à rembourser un éventuel trop-perçu l’été prochain.»
Singulier pays de cocagne, pour les magouilleurs, les créateurs de sociétés bidons, qui se permettent en toute impunité de ruiner les caisses de l’ état, en se faisant passer pour de grands humanistes, des parangons de vertus diverses et variées, qui n’en finissent pas de démanteler, piller, réduire notre belle France en un réseau d’ associations, d’oeuvres caritatives diverses et variées, qui cumulent emplois fictifs, entraide familiale, bien rémunérée, et de caser leurs proches, leurs copains, dans des comités douteux, plus proches du comité Théodule (qui ondule ), pour mieux saccager, piller, détruire ce qu’il subsiste de noble, de courageux, d’ honnête dans notre bien aimée France, qui dérive, tangue et roule dangereusement dans des mers déchaînées, malsaines, pleines de hauts -fonds, mais priorité absolue à ceux qui violent, assassinent, trafiquent en toute liberté, laissés libres de continuer à semer désordre, violences, meurtres et comportements impardonnables , s’ils sont mineurs de 13 ,14 ans, liberté totale pour ces » petits anges ». A quand une riposte nécessaire, urgente, à la hauteur des menaces ? Le baratin , c’est bien, l’ action juste et proportionnée, c’est mieux.
Bien dit, joliment exprimé !
Ah si la justice fonctionnait aussi bien que les impôts la France serait paradisiaque.
Quelle belle phrase, félicitations !
Ah ces associations lucratives sans but, elles sont même arrivées (c’est malheureusement logique) à détourner le fric des impôts. On crée une association, généralement un politicard ou l’un de ses proches. Le Président on y mettra l’épouse de l’élu, comme ça le nom lui fera de la publicité aux prochaines élections. Elle n’a droit qu’aux notes de frais, ne vous en faites pas elle en fera ! Dans le bureau, on a bien des copains de la famille à caser, eux peuvent recevoir un salaire, ne vous en faites pas : il sera bon. L’élu lui, avec ses copains, se charge des subventions, il n’y perdra pas ! On trouvera bien quelques benêts-vole pour faire le boulot. Souvent d’ailleurs ils se donnent à fond en étant même de leur poche et font du bon travail… Mais on a comme ça casé quelques couillons de la famille.