Les onze hommes et deux femmes accusées appartiennent à l’ultradroite. Ils ont jugé, mardi 17 janvier, pour avoir préparé des actions violentes, dont l’une contre Emmanuel Macron, en 2018.
Un couteau en céramique
À l’occasion du Centenaire de l’Armistice de la Grande Guerre, en novembre 2018, Emmanuel Macron réalisait une série de déplacements dans l’est de la France. Les accusés décident de s’en prendre à lui, durant l’une de ces visites. « Je le prends par la main, je tire, et tac tac et j’utilise un couteau », aurait déclaré l’un des accusés, Mickaël Iber, durant une réunion avec ses complices. Jean-Paul Bouyer, un autre prévenu et leader de ce groupe, les Barjols, propose alors d’utiliser un couteau en céramique, plus difficile à repérer.
Âgé de 62 ans, cet ex-gérant d’un garage, reconverti en directeur d’exploitation forestière au Gabon, suit des stages de survivalisme pour s’entraîner au combat. L’homme a développé une véritable haine contre le président, qu’il définit comme un « petit clown ». L’homme sera arrêté le 6 novembre 2018, après que la police ait reçu une information, affirmant qu’il comptait tuer le président. L’arrestation intervient le 6 novembre, au moment où le groupe décide de se rendre sur la pérégrination du Président, d’après la DGSI.
La nature terroriste établie
Durant sa garde à vue, Jean-Paul Bouyer confirme qu’il a voulu « tuer Macron » lors d’un « bain de foule ». Il se rétracte par la suite. Dans ce groupe, on trouve un ancien militaire, un survivaliste et une ancienne figure du Rassemblement national, entre autres. Ils sont âgés de 26 à 66 ans, sont complotistes et entretiennent une haine pour la République et les immigrés. Le tribunal correctionnel de Paris devra déterminer, jusqu’au 3 février, s’ils avaient vraiment l’intention de tuer Emmanuel Macron.
Au demeurant, comme le rappelle Le Parisien, « nature terroriste était établie ». Les Barjols « n’avaient pas l’équipement, pas les moyens, ni même les capacités intellectuelles ou la volonté concrète de mener un plan d’ampleur », soutien de son côté Me Dylan Slama, avocat d’un des membres du groupe.
Tout le monde (ou presque) veut se débarrasser de Macron. La presse mainstream en fait des tonnes en insistant bien sur ultra drouââte alors qu’il n’y a que des mots à charge dans ce procès monté de toutes pièces et cousu de fil blanc. Les antifas, les casseurs de tout bord et les rapeurs qui veulent tuer des blancs ne sont jamais inquiétés (ou si peu) ceux là vont écoper de très lourdes peines de prison ferme pour n’avoir que penser s’attaquer à Jupiter.
Qui a dit:
arrêtez de parler mais agissez !!! Mdr
Des mots, rien que des mots! franchement ce ne sont que des délires d’un groupe de personnes qui on n’ont marre de ce Président qui se moque des français et qui on fait de la surenchère de phrases sans ce rendre compte de la gravité de leurs mots. mais surtout qu’ils étaient espionnés.
Hélas tous les fous ne sont pas à l’asile!…………