En marge d’une séance de dédicace du livre Transmania, de Marguerite Stern et Dora Moutot, 64 personnes liées à la mouvance antifasciste ont été arrêtées aux abords de l’événement. Armés de matraques et cagoulés, certains manifestants protestaient contre la transphobie supposée des auteures.
Ils venaient protester contre la « transphobie » des deux autrices
64 individus affiliés à la mouvance antifasciste ont été interpellés aux abords d’une séance de dédicace organisée par Marguerite Stern et Dora Moutot pour leur livre Transmania, samedi 5 octobre, à Paris. Les manifestants, pour certains armés de matraques télescopiques et cagoulés, se sont rassemblés boulevard Saint-Germain, près de la rue du Cardinal Lemoine, dans le 5e arrondissement de Paris. Ils venaient protester contre la « transphobie » des deux autrices, connues pour leur opposition à certaines revendications du mouvement transgenre.
La gendarmerie, rapidement intervenue, a procédé à une vague d’arrestations. 55 manifestants ont été placés en garde à vue, répartis dans plusieurs commissariats de la capitale. En fin de journée, 49 personnes ont été libérées, tandis que six autres ont vu leur garde à vue prolongée pour « participation armée à un groupement non autorisé », « refus de signalisation » et « dissimulation de visage ».
Des menaces de mort
Dora Moutot et Marguerite Stern ont pu mener à bien la séance de dédicace malgré les tensions. Elles se disent « choquées » mais refusent d’abandonner la promotion de leur livre, qui dénonce ce qu’elles perçoivent comme une « idéologie transgenre » ayant pris racine dans de nombreux aspects de la société. Les deux auteures évoquent un climat de « terreur » autour de leurs prises de parole publiques. « Je ne suis pas surprise par la violence de ces individus. Ce matin, je me suis réveillée avec le sentiment d’avoir évité le pire », confie Dora Moutot au Figaro. À la suite de plusieurs incidents similaires, les deux femmes ont écrit, en septembre, une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau pour demander une protection renforcée.
Depuis la sortie en avril de Transmania, chaque intervention publique des auteures est marquée par des incidents. En mai, lors d’une conférence ultra-sécurisée à l’université Paris-Assas, elles ont été accueillies par des dizaines de manifestants scandant des slogans violents, tels que « Une Terf, une balle, justice sociale ». Le terme « Terf » (Trans Exclusionary Radical Feminist) désigne les féministes qui excluent les personnes trans de leur militantisme.
Ils se disent antifas mais sont en définitive l’équivalent des S.A. : Ils ont exactement la même notion de la liberté d’opinion. Il est d’ailleurs assez comique de voir ces couillons admirer les trans, et fayoter avec les islamistes. Leurs héros s’égorgeraient mutuellement s’ils se rencontraient.
Vous avez tout-à-fait raison ! Et vu leur tolérance, ce ne sont certainement pas des « anti-fas », mais bien des fachos eux-mêmes ! Ils ont une idée plutôt spéciale de la démocratie : tous ceux qui ne sont pas de leur avis n’ont pas droit de cité ! Si ce n’était pas aussi lamentable, ce pourrait être risible.
En tout cas, l’islam qu’ils favorisent dans notre pays, aura tôt fait de les décapiter en premier, quand ils l’auront aidée à prendre le pouvoir. Effarant de bêtise !!!
Toujours égal à vous même très chère
Eh oui ! Vous aussi, malheureusement …..