Les viols auraient eu lieu entre 2008 et 2010. Julie n’avait alors que 13 ans quand elle sera violée par une vingtaine de pompiers. En 2018, elle avait expliqué à nos confrères du Parisien avoir vécu deux ans «d’enfer» alors qu’elle était devenue «l’objet sexuel d’une vingtaine de pompiers», de ses 13 à ses 15 ans, principalement dans le Val-de-Marne. À ce moment, le jeune adolescente est en pleine dépression et fait plusieurs séjours en hôpital psychiatrique. Victime de harcèlement scolaire, elle multiplie les crises d’angoisse, de tétanie, elle se scarifie. Ses blessures vont nécessiter jusqu’à 130 interventions des secours sur cette même période. Pourtant, seulement trois pompiers seront sur le banc des accusés. Ils seront jugés en correctionnelle et non aux assises.
Les pompiers avaient reconnus les faits: selon eux, la jeune fille «était demandeuse»
La jeune femme aura attendu ce procès durant 15 ans. Néanmoins, elle ne voulait pas être confronté à ses violeurs présumés dans un tribunal correctionnel mais bien dans une cour d’assise. De plus, la qualification de «viol» n’a pas été retenu. Ils seront à la barre du tribunal correctionnel de Versailles, dans les Yvelines, pour «atteinte sexuelle». Le procès a débuté mardi 15 octobre. Par conséquent, le juge va considérer les actes comme étant des délits et non un crime. Ce qui suppose donc le consentement de la plaignante, malgré le fait que celle-ci n’était âgée que de 13 ans au moment des faits. Pour la victime, il s’agit d’une «aberration». La vingtaine de pompiers mis en cause par la jeune fille avaient reconnus les faits durant l’enquête mais n’avaient jamais été inquiétés. Ils s’étaient justifiés en expliquant aux policiers que l’adolescente de 13 ans «était demandeuse».
Une adolescente très fragile et fascinée par l’uniforme
Lors d’une intervention des secours à son domicile, elle rencontre Pierre C., qui sera un des trois prévenus présents à l’audience. Elle va commencer une relation avec ce dernier, évoquant une «amitié sexuelle». Néanmoins, profondément dépressive, la victime réalisera plus tard qu’elle n’était pas consentante et dira qu’il s’agissait de «rapports sexuels imposés». Ici, Pierre C. la présente à ses collègues alors que la jeune fille fait des allers-retours à l’hôpital psychiatrique. Il connaissait parfaitement son état de santé mental. Les pompiers ont eu des relations sexuelles avec une très jeune adolescente dans des parcs publics, des parkings, sur des capots de voiture et même dans les toilettes de son hôpital psychiatrique.
Quelle Honte!!! qu’on leur retire immédiatement leur uniforme et leur droit d’exercer…pas de retour et des sanctions exemplaires pour ces pseudo- hommes.
Si ces pompiers sont coupables, ils doivent être condamnés avec des circonstances aggravantes car ils ont déshonoré le bel uniforme qu’ils portent.
Il y a des hommes, devant un tribunal, pompiers en plus,
dont la mission est de venir au secours des personnes en difficulté,
qui reconnaissent les faits, leur participation,
mariés peut-être et père de famille,
cela suffit à condamner leur acte,
sans aller chercher des poux dans la tête de cette fille et de ses parents.
Se sont quand même des pervers car elle n’avait que 13 ans et en plus dépressive et les parents n’ont-ils rien vu.?, bizarre cette histoire…..
A t’elle seulement des parents ? Dépressive, ils ont abusé de sa faiblesse. Quelle société pleine de dépravés ! Seront-ils seulement punis ? J’en doute. Ils savent qu’ils ne risquent pas grand chose, alors ils continuent. La France en Europe s’oppose à la condamnation du viol.
Ils sont quand même gonflés parce qu’à 13 ans, même bien grande et bien formée, elle avait tout de même 13 ans. Malgré tout ça se remarque. Dépressive en plus, ils devraient se sentir honteux s’ils sont tant soit peu civilisés…
Et vous y croyez à ses affabulations ? 🙁
Réfléchissez un peu voyons, un peut-être mais une vingtaine de pompiers !!! 🙂 🙂 🙂
J’ai travaillé justement avec une ex de pompier. Elle me disait que comme ils s’emmerdent quand il n’y a pas d’incendie ou de sauvetage, ils discutent entre eux de ce qu’ils font avec leur copine, ce qu’elle sait faire, ce qu’elle accepte ce qu’elle refuse et rentré chez eux, il mettent la leur en concurrence « tu sais Machine elle fait ci, elle fait ça tu devrais me faire pareil ». D’après ses dires ils ne pensent qu’à ça.