Vendredi 21, comme tous les jours, elle se rend dans son commerce à pied. Cette femme, âgée de 59 ans, sera attaquée par un homme qui va lui porter cinq coups de machette. Elle sera conduite en urgence à l’hôpital. Son agresseur est toujours recherché par la police.
Une agression d’une violence extrême
Véronique Chaney expliquera qu’«on est en été, c’est la période des mariages. J’ai beaucoup à faire, alors depuis un certain temps, je vais travailler entre quatre et cinq heures du matin». La couturière de 59 ans a l’habitude de croiser tous types de personnes: «Souvent, je croise des balayeurs ou des jeunes en retour de soirée». Mais, ici, elle fera une mauvaise rencontre. Une voiture va s’arrêter à son niveau et le conducteur, un parfait inconnu, lui proposera de l’accompagner jusqu’à sa destination. Véronique refuse et poursuit sa route en direction de son atelier.
Poursuivant son chemin, elle croisera la route d’un autre inconnu. Il semble n’avoir aucun lien avec le précédent. La quinquagénaire indiquera qu’«il n’avait l’air ni alcoolisé, ni drogué. Il me demande s’il peut utiliser mon téléphone pour passer un coup de fil afin qu’on vienne le chercher». La couturière refuse et tentera de poursuivre son trajet. «Mais il est passé derrière moi, a tenté de m’arracher mon sac», ajoutera-t-elle. Véronique va crier mais son agresseur va la bousculer. Pire, c’est à ce moment qu’il va la frapper avec sa machette. «Je suis tombée sur le côté gauche, mais je n’ai pas lâché mon sac. Je l’ai vu sortir de sa ceinture un objet, que j’ai pris pour une matraque. Il m’a tapé au visage, j’ai hurlé, et il m’a frappé encore». La victime recevra cinq coups de machette au total. «Je pissais le sang, je ne voyais plus rien».
Des riverains alertés par les cris feront fuir l’agresseur
En effet, deux hommes entendent les cris de Véronique et vont ouvrir leurs volets. Le suspect les voit et prend la fuite. Ils viendront auprès de la quinquagénaire tout en appelant la police et les secours. Ces derniers interviendront très rapidement. La couturière aura besoin de 14 points de suture au bras droit, dix au visage, deux à l’épaule. Elle souffre aussi d’une entaille sur la cuisse et d’une fracture ouverte du tibia. «À quelques millimètres près, il me touchait l’œil», indique-t-elle. Véronique s’est rendue ensuite au commissariat pour porter plainte. Le parquet de Besançon a ouvert une enquête tout en informant que les recherches se poursuivent pour retrouver son agresseur.
Encore une agression d’une extrême violence, pauvre femme, cela n’arrête pas, on sent que le Darmacon s’occupe de la violence à fond aussi votons pour qu’ils dégagent ce gvt d’amateurs pourris qui font renter toute la racaille…..