Des «représailles vis-à-vis de l’action de la police» contre le trafic de drogue @AdobeStock
Mercredi soir dernier, une brigade de CRS intervient à Cavaillon, dans le Vaucluse. Alors que les policiers de la ville interviennent dans le cadre de l’opération «place nette», contre le trafic de drogue, quatre véhicules de police vont être incendiés devant le commissariat de la ville. Sur place, les membres des forces de l’ordre n’ont aucun doute sur les raisons d’une telle attaque: il s’agit bien de représailles durant leur opération antidrogue dans la ville.
Quatre véhicules entièrement brûlés et la façade du commissariat endommagée
Lors d’une conférence de presse sur place qui s’est tenue mercredi après-midi, la procureure de la République d’Avignon, Florence Galtier, a précisé qu’«aucun blessé n’est à déplorer, malgré de légères dégradations sur les façades» du commissariat. Une unité d’une compagnie républicaine de sécurité, la CRS 81, des policiers spécialisés dans les situations d’urgence, est arrivée, mercredi soir pour prêter main-forte à leurs collègues. Grégory Lorient, membre du syndicat de police Alliance, va expliquer que les trois policiers présents ont été «terrorisés». Emmanuel Desjars de Keranrouë, directeur interdépartemental de la police nationale, va annoncer en conférence de presse que «toute la police nationale est mobilisée, le ministère de l’intérieur est mobilisé pour répondre à cette attaque. On va redoubler de présence sur la cité du Docteur-Ayme et sur toutes les cités de Cavaillon».
Des «représailles vis-à-vis de l’action de la police» contre le trafic de drogue
En effet, Emmanuel Desjars de Keranrouë va préciser que, dans le cadre de l’opération «place nette» menée à Cavaillon, 25 personnes ont été placées en garde à vue et «20.000euros (…), 15 kilos de cannabis, 6 kilos de cocaïne, une dizaine d’armes, armes longues, armes de poing» ont été saisis. Toutefois, la procureure de la République d’Avignon, Florence Galtier, a voulu nuancer ses propos. Selon elle, «à l’heure actuelle, aucune piste n’est privilégiée». Toutefois, le parquet d’Avignon a ouvert une enquête pour «destruction aggravée commise en bande organisée au préjudice d’une personne dépositaire de l’autorité publique». Elle a été confiée à la division de la criminalité organisée.
On sait tout cela, mais la réalité est bien pire ! La France sera le premier pays à toucher le fond, mais aussi le premier pays relevé ! Relevez la tête … et chacun des critiques, s’il était à la place des dirigeants ferait-il autrement. A ce niveau, ceux qui disent la vérité suivent le chemin du cimetière comme Coluche. Il n’y a pas beaucoup de héros, mais beaucoup de zéros !
Je crains que le principal problème soient les cherzélus qui touchent quelques bakchichs sur le trafic de stupéfiant. Ils savent prévenir leurs bons copains, et ne font pas grand chose pour le principal problème. Ces gens sont connus, dans chaque cité tout le mode sait qui fait la chouf, qui vend, qui livre… mais quand on en attrape un les flics pavoisent et la justice l’expédie aussitôt dans une passoire pour qu’il puisse continuer son petit trafic en contrôlant ses larbins.
Ils se contredisent sans arrêt avec des procureurs soumis à ce gvt de merde, il n’y a pas d’argent pour construire d’autres prisons mais pour l’Elysée le Macronard fait des dépenses folles pour sa dulcinée mais là tout est normal encore une fois les couillons de français ont choisi par deux fois ce merdeux……