Avant la mort tragique de Lisa, une fillette de 3 ans à Conches-en-Ouche, des messages échangés entre sa mère et son beau-père laissaient entrevoir un climat de menace et de violence. Ces signaux d’alerte n’ont pas été pris en compte à temps, conduisant à la mort de l’enfant en septembre 2023, après des mois de maltraitance.
« Ça va chier quand je vais rentrer »
Dans les mois précédant la mort tragique de Lisa, 3 ans, à Conches-en-Ouche, le 23 septembre 2023, les échanges entre sa mère, révèlent une montée inquiétante de menaces et de violences. « Ça va chier quand je vais rentrer », avait écrit Florian, le père à Sandra, la mère, l’avertissant que Lisa pourrait être couverte de bleus, selon les Figaro, le 1ᵉʳ octobre. Ces échanges, notamment sur Messenger, témoignent d’une tension constante et d’un climat de violences répétées à l’encontre de l’enfant.
La fillette a été retrouvée en arrêt cardio-respiratoire et malgré l’intervention des secours, elle n’a pas survécu. L’autopsie a révélé un « syndrome asphyxique », causé par un hématome cérébral sous-dural, confirmant que la petite fille avait subi des violences extrêmes. Son corps présentait de nombreuses blessures d’âges différents, prouvant des mauvais traitements prolongés.
Les directeurs des écoles aussi mis en examen
Les parents maltraitants ont été mis en examen pour « violences et meurtre sur mineur de moins de 15 ans ». Dans les conversations, plusieurs proches avaient exprimé leur inquiétude face aux multiples hématomes visibles sur le corps de Lisa. La mère les justifiait par des chutes accidentelles, affirmant que sa fille était turbulente et se blessait fréquemment en jouant. L’enquête a également révélé des photos et des vidéos accablantes, prises par les parents, montrant Lisa et son frère Léo, 7 ans, également maltraité, avec des blessures similaires. Ce dernier est aujourd’hui placé sous protection dans un foyer.
Sandra R. a reconnu devant les experts qu’elle était plus proche de son fils que de sa fille et a nié toute implication directe dans la mort de Lisa, affirmant : « Ce n’est pas moi qui ai tué ma fille ». Toutefois, le rapport psychologique la décrit comme « dénuée d’affect » envers Lisa et son alcoolisme, qui aurait pu altérer son comportement. Les directeurs des écoles de Lisa et de Léo sont aussi mis en examen pour « non-dénonciation de mauvais traitements », soulignant une chaîne de défaillances qui a permis à ces violences de se poursuivre sans intervention.
N’avons nous pas là le symptôme d’une société qui ne veut plus voir ce qui devient trop fréquent, d’un état impuissant qui nous demande de nous habituer à une violence quotidienne faute de pouvoir la contrer. Posons nous aussi la question suivante, l’école à failli certes ! mais à force de devoir récupérer et gérer de plus en plus d’agressions, d’atteintes à la laïcité, d’agressions de professeurs venant souvent de populations étrangères qui importent inévitablement leur quota de comportements déviants et qui finissent par faire peur au profs, l’école est elle toujours en capacité de faire face à tout cela.
La Justice devrait s’appeler désormais l’Injustice ! Pour encore croire en la Justice, il faut être très, très naïf ou un salopard bon à enfermer. Depuis longtemps, et c’est devenu pire depuis plus de quarante ans, la Justice défend d’avantage les coupables que les victimes. On devrait traduire l’Etat en justice pour non assistance à personnes en danger ou pour mise en danger de ses administrés par acceptation sur le sol du pays d’étrangers, potentiellement dangereux. Je rappelle que l’Etat se doit, a l’obligation de protéger ses concitoyens ! C’est loin d’être le cas au vu de tous les crimes et délits qui se cumulent au fil des jours.
« C’est ça : Arrestation de Quinquin, jugement de Quinquin, Même avec dix meurtres affichés, l’avocat va nous le présenter en victime. Les oreillons à trois ans, des convulsions à cinq, privé de confiture par sa mère, traumatisé par ses professeurs. Il sortira du tribunal avec une amende pour port d’armes…À condition qu’il ne prouve pas qu’il fait de la préparation militaire ! »
Audiard (texte pour « le Pacha »)
On y est toujours…
La solution….lui on le castre.. et elle on lui ligature les trompes de …..salope
Avec le nouveau ministre de la justice issue des socialos, les choses ne sont pas près de changer, malgré la bonne volonté de Retailleau !!
pas de prison pour eux mais le même traitement subit par les deux enfants. Pas de pitié pour la mère et le beau père. Mais le pire est que un avocat va tout faire pour minimiser les faits.
Les avocats font tout pour être connus pour gagner du fric sur le dos des victimes en banalisant les faits du coupable, ils sont pourris je ne sais pas comment ils peuvent se regarder dans une glace …..