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Une localité de Franche-Comté a été le théâtre d’une tragédie le dimanche 17 novembre 2024. Un jeune homme de seulement 22 ans a perdu la vie lors d’un incident malencontreux alors qu’il effectuait des réparations sous sa propre voiture.
Accident fatal lors d’une opération de mécanique
Dans l’après-midi, juste avant 14 heures, rue des Perrières à Pouligney-Lusans, le jeune homme, désireux de changer le pot d’échappement de son véhicule, a procédé à son surélévation à l’aide d’un cric. C’est pendant qu’il était sous la voiture que le cric a cédé, le laissant coincé et entravé sous la masse du véhicule.
La mère du défunt, dans une tentative désespérée de sauvetage, s’est précipitée pour le libérer et a initié les gestes de premiers secours, soutenue par un opérateur des pompiers par téléphone dans l’administration d’un massage cardiaque.
Aucune chance de survie
Les secouristes, composés de pompiers et du SMUR, sont arrivés promptement sur les lieux. Malgré leurs efforts, la victime, sévèrement blessée à la tête, n’a pas survécu. Au total, 16 pompiers ont été dépêchés pour répondre à cette urgence. La gendarmerie de Roulans a très vite conclu à un accident domestique suite à une enquête expéditive.
Il s’agit là d’un rappel tragique des risques liés à l’entretien automobile domestique, notamment l’importance de la sécurisation de la voiture pendant toute intervention mécanique sous le châssis. Cet événement souligne l’importance de la prudence et du savoir-faire dans de telles situations, pour prévenir les conséquences potentiellement mortelles d’un accident.
Je ne pense pas que le cric a cèdé ( méfiance article journeaux) il a simplement vrillé et la voiture est tombée c’est comparable à nous même en position sur une seule jambe la moindre pression sur votre corps vous fait chuter et lorsque vous dévissez avec votre clef à pipe un écrou grippé ou rouillé (ils le sont tous sous une voiture )vous exercez une pression phénoménale qui se transmet à la caisse
Ceci dit un cric spécifique à l’auto n’est conseillé par le constructeur que pour remplacer une roue mais le pauvre jeune homme n’ayant que le cric comme moyen de levage à payé de sa vie sa réparation facile à dire après coup ce qu’il fallait faire en matière de sécurité
Avec mes sincères pensées et condoléances à la Maman et toute la famille
Les crics d’origine des voitures anciennes étaient certainement mieux dimensionnés (quel que puisse être son poids !) mais malgré tout, les mécanos dignes de ce nom ajoutaient toujours 2 chandelles par sécurité, + la roue de secours sous la roue la plus près du chantier… et 1 ou 2 cales en bois pour limiter le déport du véhicule si une chandelle vacillait ! Mais la sécurité était à l’esprit de tout bricoleur !
Quelle différence faire-vous chez « l’info au quotidien » entre un incident tragique et une tragédie. Je crois que vous avez tout un tas de valeurs à revoir.
Que ce soit avec le cric fourni avec le véhicule, ou un cric rouleur comme dans les ateliers, il faut toujours prévoir une sécurité de type « chandelle » !!! Il faut aussi bien serrer le frein à main si l’on est pas sur un sol parfaitement plat !!!
c’est toujours pareil aujourd’hui on n’achète une voiture ,mais il s’économise sur les accessoires
les cris se plie de peur ,je pense qu’il faut porter plainte contre le constructeur ,moi j’ai récupérer le cri de la peugeot 403 a mon père ,rein a voir il est bien plus costaud (mes condoléance a la familles )
Tout de suite porter plainte, c’est nul, les crics ne servent pas à faire des réparations sous le véhicule, le cric dans le véhicule sert uniquement pour changer une roue, donc, pas besoin d’aller sous le véhicule pour changer une roue, il existe du matériel professionnel pour faire des réparations sous le véhicule,, la plainte ne sera pas recevable
…il y en a qui font encore confiance aux « chandelles », sans autre sécurité, ça fait peur !!! les « anciens » ont une certaine expérience mais sont-ils encore écoutés, c’est bien là le problème…
Une chandelle de bonne qualité est suffisante !
22 ans et aucune expérience, pauvre gamin !!!
Quand je réalise ce genre d’opération, je laisse toujours coté cric la roue de secours à plat avec un ou 2 bouts de bois au cas où !!! 😉
Ouais…
Ne m’en parlez pas, je me suis fait avoir avec mon cric pour changer le pare-chocs arrière… J’étais « en pente », pourtant pas beaucoup et je me suis fait avoir… Heureusement que j’avais laissé la marche arrière…
Mais ça s’est fini à « pas loin »…
Quand je dis à des jeunes « prévoyez TOUT, même le pire »… il faudrait s’en inquiéter, non?
et une chandelle !