Le jeune homme et sa compagne ont été violemment battus. Les deux victimes seront hospitalisées en urgence. Les cinq suspects ont réussi à prendre la fuite. Aucune interpellation n’a eu lieu à ce jour.
Un vol de voiture avec violence
Il n’y a plus de demi-mesures ni de limites chez les délinquants. Nous avions écrit ici comment, lors d’un car-jacking à Paris le 6 septembre, le voleur avait immédiatement tranché la gorge de la jeune femme qui conduisait le véhicule. Ici, le déroulé des faits est assez similaire dans la mesure où l’ultra violence s’invite immédiatement dès le début d’une action. Les deux jeunes gens faisait le plein dans une station-service de la commune de Bihorel, dimanche 15 septembre vers 22 h. Ils ont soudainement été attaqués par un groupe de cinq individus qui voulait voler leur voiture. Le jeune homme s’est alors interposé mais il a payé très cher son acte de bravoure. Sur France 3, il va expliquer qu’«ils m’ont frappé, étranglé et j’ai perdu connaissance. Ils m’avaient mis une veste sur la tête, je ne savais plus où j’étais».
La jeune fille s’est retrouvée avec un pistolet sur la tempe
Sa jeune compagne a essayé d’appeler les forces de l’ordre mais elle sera menacée avec une arme braquée sur sa tête. Le jeune couple doit son salut à l’arrivée d’autres automobilistes qui ont fait fuir leurs agresseurs. Une fois les secours sur place, les deux jeunes victimes ont été transportées en urgence au CHU de Rouen. Quinze jours d’arrêt de travail ont été prescrits au jeune homme. Sa compagne est profondément traumatisée. Une plainte a été déposée au commissariat de Rouen et une enquêté a été ouverte par le parquet.
Voilà ce qui attend tout le monde maintenant grâce à nos « très chers » gouvernants ! Plus personne n’est en sécurité … A force de protéger la racaille, ils vont en subir les conséquences tout comme le simple citoyen … Merci les députés pour avoir voté des lois indignes ! Merci les gouvernants pour avoir baissé VOTRE froc ! N’oubliez pas cependant le retour de bâton … Dans tous les pays et de tout temps les responsables ont payé …
Oh bien entendu on ne dit pas d’où venait ces cinq agresseurs. Les pauvres ça pourrait leur porter tort, encore des petits anges comme disait l’autre couillon.