Toutefois, rapidement, avec celui qui est devenu son complice, elle a recruté des jeunes filles, dont une mineure, et a «monté» un réseau local avec appartements et garde du corps pour les prostitués. La jeune femme et ses complices ont été jugés à Mâcon pour proxénétisme et complicité de proxénétisme.
Au départ, la jeune gendarme ne se concentrait que sur ses propres clients
C’est une solution qui peut surprendre, surtout venant d’une militaire, mais, pour financer une opération de chirurgie esthétique, la gendarme avait décidé de se prostituer via un site internet spécialisé. Afin de pouvoir réaliser ses prestations, étant basée dans la Drôme, elle a demandé à un ami habitant Mâcon de lui prêter son logement pour pouvoir accueillir ses clients. Devant un certain succès et l’argent facile, elle décide, avec cet ami, de recruter d’autres filles pour développer son propre réseau.
Si «l’ami» en question était là aussi pour assurer la sécurité des filles, c’est la rencontre avec un deuxième homme, âgé de 53 ans et déjà un «pro» du milieu, qui va amener la jeune femme à créer un véritable réseau bien organisé. Les rôles commencent à changer: le «pro» s’occupe de trouver des appartements, le plus jeune continue d’assurer la sécurité et la gendarme, tout en se prostituant, recrute jusqu’à sept autres filles dont une mineure. L’aîné des trois percevait 50% des recettes quand la militaire et son «ami» se partageaient les 50% restant.
Le juge rappelle que «le proxénétisme est interdit en France»
Le réseau se développe. Un jeune couple est là pour assurer les tâches quotidiennes d’entretien des appartements. L’ex-compagne de l’homme de 53 ans et son fils s’occupent de «l’accueil» et du transport des jeunes filles. Devant le tribunal correctionnel de Mâcon, seuls cinq mis en cause seront présentés au juge. Pourtant, l’aîné de la filière expliquera ne pas comprendre ce qu’il fait là. Quand le magistrat lui demande pourquoi, il répondra: «Ben, je fais la même chose en Suisse, et c’est autorisé ! ».
Alors que tout est parti de la jeune gendarme, les réquisitions du parquet vont se concentrer sur cet homme. Le procureur demandera quatre ans de prison dont deux avec sursis. L’«ami» de la militaire risque deux ans de prison dont un avec sursis. Pour les autres prévenus, il ne s’agit que de sursis. La jeune gendarme n’écope que de six mois de prison avec sursis.
Maintenant si on met gendarmes en taule où on va!!!!!!
Ne généralisons pas. Cette gendarmette et ses complices doivent être punis au pénal pour proxénétisme et professionnellement pour elle par son exclusion de l’institution. Une fois les sanctions concrétisées et mises en exécution, qu’elle aille en Suisse où c’est, paraît-il autorisé (?) et elle pourra revenir discrètement faire sa chirurgie esthétique en France, moins chère qu’au pays des Helvètes….
Quelle honte, de plus en plus de dépravés, pourquoi on a pas son nom..?
J’adore ! Ça fera un bon téléfilm sur m6 ça ahah
Quand je vous dis que cette société est totalement décadente, malade. Je pense qu’elle est arrivée à son taux de civilisation maximum et que maintenant elle bascule dans la dégénérescence. L’empire romain a disparu comme ça.
il n’y a pas un jour qui se passe sans que les femmes françaises ne nous gratifient de leur dégénérescence et de leur laideur morale
Oh la p’tite cochonne…….
Alors c’était elle qui m’avait mis la main sur le « paquet » !
Si elle officiait dans le 9.3 alors je comprends mieux les délits de fuite des ‘beaux gosses des quartiers »
Blague à part , elle ne savait pas que dans les gendarmeries il y a un service annexe qui…….. !!
Bref , je préfère vous dire que dès sa premiére semaine de débauche c’était mal engagé pour elle .