Un homme de 26 ans a été condamné pour viol, à Montgeron, mercredi 31 janvier, par la cour criminelle de l’Essonne. Dans la nuit du 3 mai au 4 mai 2021, à Montgeron, il a violé une jeune femme pendant plus de trois heures.
Il lui demande de rester calme
Un homme de 26 ans a été condamné pour viol, à Montgeron, mercredi 31 janvier, par la cour criminelle de l’Essonne. D’origine Moldave, il écope de dix ans de réclusion criminelle, à une interdiction définitive de territoire français et à indemniser sa victime à hauteur de 25 000 euros. Les faits se sont produits dans la nuit du 3 mai au 4 mai 2021, à Montgeron.
La victime, âgée de 28 ans, se promenait dans le parc du Moulin-de-Senlis. Elle avait dans l’intention de demander une cigarette à un passant et hélas, elle tombe sur l’accusé. Ce dernier lui court après, l’attrape et lui met la main devant la bouche, lui commandant de rester calme. Il n’y a personne aux alentours et as non plus d’habitation à moins de plusieurs dizaines de mètres et donc personne pour intervenir. Durant plus de trois heures, il la viole à plusieurs reprises.
Une victime triste, renfermée et dépressive
Le violeur est en état d’ébriété au moment des faits. Selon lui, il s’agissait d’une relation sexuelle tarifée, mais aucune preuve n’a été établie. « Elle aurait pu s’enfuir. Ils ont même fumé des cigarettes à trois reprises », d’après Justin Gnadré, son avocat. Mais la victime raconte qu’elle se trouvait en état de tétanie et qu’elle a eu peur de s’enfuir, par crainte qu’il ne la rattrape et ne la tue. Elle raconte aussi qu’elle était à bout de souffle, car elle a reçu un coup de couteau qui l’a touché au poumon, en 2016, après une tentative de meurtre.
Les relations sexuelles ne sont pas contestées et le certificat médical fait état de lésions en lien avec des violences, rappelle l’avocat de la victime, Me Augustin Nancy. Par ailleurs, le psychiatre confirme que la victime était en état de choc. Selon son entourage, elle est triste, renfermée et dépressive. Concernant l’accusé, il rappelle qu’il a parlé froidement des faits, en souriant. Il pensait aussi ressortir après l’entretien.
10 ans de prison pour ce déchet c’est pas assez !! Et en plus , obligation de quitter le territoire , mais en attendant il va exécuter sa peine chez nous , et ce sont nos contribuables qui vont payer !!