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Un paysagiste de 34 ans, résidant dans l’Hérault, a été mis en examen et incarcéré le vendredi 14 mars 2025, après avoir avoué une série de viols, dont certains sur des mineures, commis par administration de substances chimiques à l’insu de ses victimes. L’affaire a débuté le 24 janvier 2025, lorsque deux femmes se sont présentées à la brigade de gendarmerie de Saint-Jean-de-Védas pour porter plainte. L’une d’elles a relaté, qu’après avoir partagé un café avec le paysagiste chez ses parents, elle s’était absentée brièvement pour lui apporter du paracétamol qu’il avait sollicité en raison d’un prétendu mal de tête. Elle s’est ensuite réveillée dans son lit sans aucun souvenir des événements survenus entre-temps. Des analyses médicales ont révélé la présence de benzodiazépines dans son organisme, alors qu’elle ne suivait aucun traitement en contenant.
Le drame des viols par soumission chimique
La seconde plaignante a décrit une expérience similaire. Les investigations ont également mis en lumière une troisième plainte déposée en octobre 2024, où la victime avait été retrouvée dans son lit, simplement couverte d’un drap, après que le paysagiste eut effectué des travaux à son domicile quelque temps auparavant. Interpellé et placé en garde à vue, le suspect a reconnu les faits, déclarant avoir administré de l’alprazolam à ses victimes avant de les violer. Il a confessé avoir agi de la sorte envers une quinzaine de personnes, dont des mineures, précisant avoir filmé ses actes et avoir été sous l’emprise de la cocaïne lors de leur commission.
Les enquêteurs recherchent d’autres victimes
Les autorités poursuivent leurs investigations pour identifier d’éventuelles autres victimes. Compte tenu du mode opératoire, les enquêteurs n’exclut pas que les quinze viols avoués par leur auteur ne serait que l’arbre qui cache la forêt.. Ainsi, des enquêtes sont en cours, menées par la compagnie de gendarmerie de Castelnau-Le-Lez, pour identifier d’autres jeunes femmes. Le procureur de la République de Montpellier a ajouté qu’«il indiquait avoir agi de la sorte au préjudice d’une quinzaine de victimes dont des mineures, avoir filmé les faits et avoir agi sous l’emprise de la cocaïne». Le parquet a annoncé que le suspect a été mis en examen pour «viols avec administration de substance nuisible avec préméditation ayant porté atteinte à l’intégrité physique» et placé en détention provisoire.
Il sera sous bracelet électronique avec les juges gauchos et il sera prêt à recommencer …..
Pauvres femmes !
vu le nombre de victimes… en taule pour 30 ans fermes !