Les enquêteurs d’Europol ont alerté les services français @AdobeStock
L’enfant avait été placé chez lui, près de Nantes, par l’Aide sociale à l’enfance en Loire-Atlantique. Il était parvenu a caché son véritable profil afin de devenir assistant familial. Le parquet de Nantes a confirmé que cet individu a été mis en examen pour viols accompagnés d’actes de torture et de barbarie sur mineur de 15 ans ainsi qu’agressions sexuelles.
Le petite fille de 4 ans souffre d’un lourd handicap
Comble de l’horreur, Renaud Gaudel va préciser que l’enfant souffre d’un «lourd handicap». Le suspect en avait la charge depuis le 7 décembre 2023. Il aurait violé la fillette à de nombreuses reprises et aurait diffusé les vidéos sur les réseaux sociaux. Le procureur de la République de Nantes a expliqué: «Je ne souhaite pas rentrer dans le détail, mais pour qu’un acte de torture ou de barbarie soit qualifié, il faut démontrer l’exceptionnelle violence exercée». Il insistera sur «l’extrême fragilité» de la fillette et la volonté de «nier à cette personne sa dignité humaine» par son bourreau. Le suspect encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Les enquêteurs d’Europol ont alerté les services français
Lors de la conférence de presse, nous apprendrons que les policiers de l’Office des mineurs ont été prévenus par les enquêteurs néerlandais d’Europol. Il a fallu dix jours de travail intense pour identifier le pédophile et sa jeune victime. Quand les forces de l’ordre se rendent au domicile du suspect, celui-ci est en vacances en Tunisie et avait confié l’enfant à une famille d’accueil. Le 23 septembre, il sera interpellé à l’aéroport par la police à sa descente d’avion.
Renaud Gaudel va indiquer qu’«au cours de sa garde à vue, l’intéressé a reconnu être l’auteur des viols au préjudice de cette toute jeune enfant, ainsi que plusieurs agressions sexuelles. Il indique qu’il aurait ces tendances pédophiles depuis de nombreuses années». Les enquêteurs cherchent aussi à savoir si ce père de famille a fait d’autres victimes. Dans un communiqué de presse, le département de Loire-Atlantique a indiqué qu’il se porte partie civile. Si la petite fille de 4 ans a été hospitalise, son bourreau a été placé en détention à la maison d’arrêt de Nantes.
Quel dommage qu’il n’y ait plus la peine de mort. Pauvre petite, être confiée à un sadique pareil. Et encore faut-il que ce soit les néerlandais qui donnent l’alerte. On n’a plus de sous en France, soi-disant mais on en a pour les jeux olympiques, pour payer tous ces hommes politiques à nous rabâcher qu’il n’y a plus de moyens mais pour ce qui les intéresse, ils trouvent toujours une solution.