Trois ans après l’agression violente de l’adolescent Yuriy, la dalle Beaugrenelle, située dans le 15e arrondissement de Paris, est de nouveau le théâtre de violences entre bandes rivales, vendredi 4 octobre. En fin d’après-midi, des jeunes appartenant aux bandes « RD4 » et de Balard se sont affrontés avec des armes blanches, faisant trois blessés, dont un mineur grièvement touché.
Une rixe liée à une rivalité ancienne
Trois ans après l’affaire Yuriy, la dalle Beaugrenelle, située dans le 15e arrondissement de Paris, a été le théâtre d’une nouvelle altercation violente entre bandes rivales, vendredi 4 octobre. Vers 18h30, les membres de la bande « RD4 », à laquelle appartenait Yuriy et ceux de Balard, se sont retrouvés sur la dalle du Front de Seine pour s’affronter. Des armes telles qu’un katana, une crosse et des bâtons ont été utilisées au cours de cette bagarre, faisant trois jeunes blessés, dont un mineur grièvement touché à l’arme blanche. Ce dernier a été pris en charge par les secours en urgence relative.
Le motif de cet affrontement demeure inconnu, mais serait lié à une rivalité ancienne. Trois jeunes, âgés de 14, 15 et 19 ans, ont été arrêtés par la police suite à cette rixe. Plusieurs armes ont également été saisies sur place. Une enquête a été ouverte pour éclaircir les circonstances de cet affrontement. Le maire du 15e arrondissement, Philippe Goujon, déplore la situation et rappelle qu’il avait déjà demandé plusieurs mesures après l’affaire Yuriy, survenue en 2021. Malgré quelques actions, comme la fermeture de certaines issues et la présence de patrouilles policières, d’autres mesures comme l’installation de caméras de surveillance et le renforcement de l’éclairage tardent à être mises en place.
Des mesures de surveillance supplémentaires
La dalle Beaugrenelle, située au-dessus d’un centre commercial, est souvent considérée comme un lieu « criminogène », en raison de son isolement visuel qui facilite la délinquance. Le maire réclame donc une sécurisation renforcée pour éviter que de tels incidents ne se reproduisent, craignant que cette zone reste un point sensible pour les affrontements entre bandes.
Des mesures de surveillance supplémentaires, ainsi que l’intervention d’éducateurs pour désamorcer les tensions, ont été annoncées par le maire adjoint à la sécurité, Anthony Samama, afin d’éviter d’autres affrontements. La situation est suivie de près, d’autant plus que ces conflits entre bandes rivales ont déjà causé des drames par le passé, notamment celui de Yuriy en 2021, qui avait marqué les esprits.
Tant mieux s’ils s’entretuent!
le malheur des uns fait le bonheur des autres comme dit le dicton!
Destitution de nationalité et dehors !! Rien a faire de ces débris sur notre territoire , ou alors qu’ils continuent a se tuer entre eux , ça fera des vacances aux forces de l’ordre , tant qu’il n’y a pas de victimes collatérales , c’est tout bénef !!
C’est un peu comme à Marseille, maintenant quand il y a un règlement de comptes, on dit « un de moins ». Ils font très efficacement ce que ne peut pas faire la police et ce que refuse de faire la justice.