Samedi 19 octobre à Verberie, dans l’Oise, un homme a été tué très certainement avec une tronçonneuse. Le parquet a ouvert une enquête pour «flagrance pour meurtre». Il a confié les investigations à la brigade de recherche de la gendarmerie de Senlis. Le meurtrier serait le voisin de la victime. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’auteur des faits serait atteint de troubles psychiatriques.
Un meurtre particulièrement sanglant
Le meurtre a été perpétré samedi dernier en fin de matinée. Loïc Abrial, procureur de la République de Senlis, a annoncé avoir ouvert «une enquête de flagrance pour meurtre». Si un homme a bien été interpellé et placé en garde à vue, pour le moment, le magistrat estime que «la personne est présumée innocente». Le procureur de la République de Senlis s’est rendu sur les lieux du crime avec un médecin légiste de l’unité médico-judiciaire de Creil. Il précisera que «des constatations ont été faites et une autopsie sera réalisée en début de semaine».
Le maire annonce le décès d’un homme «bien connu dans sa commune»
L’édile de Verberie, Michel Arnoult, a annoncé la mort de cet habitant de sa commune. Sur les réseaux sociaux, le maire a déclaré: «Je confirme que Jean-Louis Gaillet», figure connue de la petite ville de l’Oise, et qu’il «a été sauvagement assassiné dans l’immeuble où il résidait, avenue René Firmin». Si le maire évoque, dans sa publication sur Facebook, un assassinat, le procureur de Senlis indiquera qu’un «assassinat suppose une préméditation» et que seule le résultat des investigations pourra le dire. La victime, Jean-Louis Gaillet, a été président du Comité des Fêtes de la commune. Lors des élections municipales de 2020, il était septième de la liste «Tous unis pour Verberie». Selon nos confrères du Courrier Picard, des témoins affirment que la victime a été tuée avec une tronçonneuse par son voisin.
On laisse les fous dans la rue, sans aucun scrupule, au contraire, « ça fait bien » pour les médecins et les juges qui se voient pousser une auréole chaque fois qu’ils remettent un fou ou un violeur professionnel en liberté. Éducation bienveillante, liberté totale pour les familles on leur paie les allocs et c’est le dealer qui élève les gosses… le socialisme depuis 81 qu’il règle tout, est mééééérveilleux !