Lola avait 12 ans et rentrait du collège, mais n’est jamais arrivé chez elle. Le corps de la fillette a été retrouvée dans une malle du XIXe arrondissement de Paris. Décédée par asphyxie, c’est l’hypothèse d’un trafic d’organes qui est avancée. Quatre personnes ont été placées en garde à vue.
La tête a été presque arrachée
Le corps d’une fillette de 12 ans a été retrouvé dans une malle en plastique, vendredi 14 octobre, dans le XIXe arrondissement de Paris. Trois personnes, retrouvées à proximité des lieux, ont été interpellées dans la nuit, par les enquêteurs. Une quatrième personne, une femme, a été arrêtée samedi 15 octobre au matin, à Bois-Colombes. En tout, six personnes ont été placées en garde à vue samedi, d’après le parquet qui a précisé que leur rôle restait à déterminer.
Aux alentours de 23 heures, un SDF signale la découverte d’une boîte opaque. Cette dernière contenait le corps d’une jeune fille, dans la cour intérieure d’un immeuble. Le corps était caché sous des tissus, selon une source proche du dossier. Deux valises cabines ont été retrouvées également, près de la malle. Selon les premiers éléments de l’autopsie, la victime est décédée par asphyxie, rapporte Le Figaro. Sa tête était, par ailleurs, presque arrachée. Des chiffres étaient aussi inscrits sur son corps.
« J’ai peur de laisser mes enfants dans le quartier »
Une femme, sans doute celle aperçue sur les images de vidéosurveillance, aurait demandé de l’aide pour transporter une malle jusqu’à sa Dacia Lodgy, d’après les indications d’un riverain à la police. Âgée d’une trentaine d’années et d’origine maghrébine, elle aurait promis de l’argent lié à un « trafic d’organes » en échange de cette aide. Mais l’homme aurait refusé, à la vue de linge ensanglanté dans la voiture, selon le JDD. Il semblerait que ce soit peut-être un chauffeur Uber qui l’a aidé.
Au pied de l’immeuble dans lequel résidait la jeune fille, habitants et parents d’élèves sont en état de choc. Amélie, la mère d’un fils qui était dans la classe de Lola, la victime, affirme que ce dernier « n’ira certainement plus à l’école et n’en sortira pas non plus en étant non accompagné ». « C’est horrible, horrible, j’ai peur de laisser mes enfants dans le quartier », dit une autre mère. Des cellules de soutien psychologique pour les élèves et pour les personnels du collège ont été mises en place.
les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets- qu’attendent nos gouvernants pour mettre de l’ordre et renvoyés ces clandestins dans leur pays sans s’occuper des biens pensants quoi ne voient pas plus Loing que le bout de leur nez aveuglés par leur idéologies
Ce genre d’actes insupportables n’est que trop fréquent et ne va pas en s’amenuisent, bien au contraire. Il faudrait rétablir la peine de mort pour ces monstres et aucune pitié comme ils n’ent on pas eu pour cette pauvre enfant. Que Dieu la garde.
des fous comme ceux qui nous gouvernent depuis 30 ans
nous sommes chez les dingues de chez dingues, et tout cela depuis le mitterandisme ou les conneries se sont mises en place, hélas bien amplifiées avec le gros lard et la pédale et son équipe