Céline Vasselin, 36 ans, esthéticienne, et Jessica Adam, 40 ans, sont jugés en appel, depuis lundi 20 novembre, par la cour de Seine-Maritime, pour avoir tué et démembré le conjoint de la première, en 2018.
Les découpeuses de Rouen
Deux femmes, accusées d’avoir démembré le concubin de l’une d’elles, en 2018, à Rouen, sont jugées en appel depuis lundi 20 novembre. Céline Vasselin, 36 ans, esthéticienne, et Jessica Adam, 40 ans, une cliente qui est devenue une « copine », ont été jugées en première instance, par la cour d’assise de Seine-Maritime, en novembre 2022. Elles ont éte surnommées « les découpeuses de Rouen », par la presse.
Les deux femmes sont accusées d’avoir tué par arme blanche Sliman Amara, avant de le démembrer. Le corps avait été trouvé enroulé dans une bâche, par la brigade fluviale. L’homme était le père de l’enfant de Céline Vasselin. Après le premier procès, elles avaient été condamnées à 22 ans pour la première et à 17 ans pour la seconde, de réclusion criminelle. Une troisième femme a été jugée, car elle n’aurait pas empêché le crime. Mais elle a été acquittée. Elle comparaît libre, en fauteuil roulant.
Des faits graves et injustifiés
« L’enjeu de ce nouveau procès, c’est clairement les peines. Les deux accusées principales ont clairement redit qu’elles reconnaissaient l’intégralité des faits. Pour mon client, cette nouvelle semaine d’audience est très difficile à vivre. Il a besoin, pour la mémoire de son frère, que l’on redise que ce qu’a subi son frère est grave et injustifié, quelle que soit la dynamique du couple », déclare Me Chloé Chalot, avocate du frère de la victime, relayée par Le Parisien.
D’après l’avocate de la victime, Sandra Gosselin, « l’enjeu de ce nouveau procès est la notion d’emprise, et par conséquent la peine ». Lors du premier procès, elle affirmait que Sliman Amara la frappait et la maltraitait psychologiquement. C’est pourquoi elle l’aurait tué. Le verdict sera rendu vendredi 24 novembre.
Ce qui est bizarre, c’est quand les Française manipulent des objets tranchants c’est des condamnations à plus de vingt ans, et quand c’est la racaille venue d’ailleurs, cela dépasse rarement les 15 ans.
Comme c’est curieux!!! D’elles on a les noms, prénoms, et même les photos!!! Si elles étaient venues d’afrique, de syrie, iran, etc… on n’aurait même pas eu les prénoms!