Âgé de 49 ans, un père de famille, s’est jeté d’une fenêtre au 4e étage, menacé d’une arme par son fils de 14 ans, mercredi 28 septembre, à Villejuif (Val-de-Marne). L’adolescent tenait un couteau de cuisine, lui assurant qu’il tuerait sa mère s’il ne s’exécutait pas. Les jours du père ne sont pas en danger et le fils a été placé en garde à vue.
Une violente dispute
Vers 20h15, « une voisine alerte la gardienne, car elle entendait des gens hurler de plus en plus fort dans l’appartement d’à côté », raconte un voisin au Parisien. La gardienne essaye d’accourir de chez elle, mais il est trop tard. Après une violente dispute, entre le couple et leur fils, ce dernier file à la cuisine et prend une « machette chinoise », couteau de type feuille de boucher. Là, il demande à son père de sauter dans le vide, sous peine de s’en prendre à sa mère, le tout l’arme à la main.
Sa mère parvient à s’échapper et court hors de l’appartement. Les sapeurs-pompiers, alertés par les voisins effarés, arrivent sur place. Ils portent secours au père, allongé dans l’herbe au pied de l’immeuble. Deux branches, retrouvées près de lui, témoignent de la violence de la chute. « Il a eu de la chance, un arbre a ralenti sa chute », témoigne une riveraine ébahie.
Une dépression ?
L’adolescent est retranché dans sa chambre. Les secouristes récupèrent un numéro pour le joindre et lui demandent de descendre. Il s’exécute sans broncher, avant d’être arrêté au pied de l’immeuble. L’arme est retrouvée dans le logement. « Le mineur de 14 ans a été placé en garde à vue au commissariat du Kremlin-Bicêtre », commente le parquet de Créteil. Une enquête a été ouverte pour mieux comprendre ce qu’il s’est réellement passé et ce qui a poussé le jeune homme en arriver là. Une expertise psychologique devra aussi établir si son discernement était aboli au moment des faits.
Selon plusieurs sources, il souffrirait d’une « dépression accompagnée par d’autres symptômes » et « la voisine entendait souvent des disputes », indique une autre riveraine. Le pronostic vital du père n’est pas engagé. « La grande fille m’a appelé ce matin pour me donner des nouvelles rassurantes », témoigne la gardienne.
t’as raison Tony, il faut lui mettre la branlée de sa Vie à ce pti-con, malade où pas !
Ha bon??? Et il va être jugé pas trop responsable et je vais continuer à bosser pour qu’on loge et qu’on nourrisse cette petite merde???!!! Que les bons « socialopes » le fassent, mais moi je refuse ce principe!!!
Pauvre type ! Vous vous prenez pour Dieu, vous devez être parfait !
Au nom des libertés les associations et la justice font n’importe quoi et tout fout le camps : valeurs de respect envers les anciens, violence gratuite et naissance de générations de sociopathes et psychopathes qui font leur propre loi. C’est aussi aux parents a s’interroger sur l’éducation qu’ils ont donné à leurs enfants…les enfants Dieu c’est une catastrophe !
Ecoutez, les parents dont trop laxistes a cette époque , nous , nous avons été éduqués bien différemment. Nos parents nous apprenaient la politesse, le respect etc…. et quand nous le méritions on prenait des coups de pied au fesses, et quelques claques et ont commandent est toujours là, nous avions des valeurs, maintenant plus rien ,nous avons une génération de jeunes dégénérés, insolents, violents, et malhonnête, mais ils ne faut plus rien dire… c est grave , car les enfants ont le droit de poursuivre leur parents en justice…… Mais où va t on … elle est belle la FRANCE !!!!!!
Voila les ravages de ne plus avoir le droit de leurs donner de bonnes baffes , histoire de remettre les choses en place. Elevée à la stricte , j’en suis pas morte bien au contraire .
Madame, Les bonnes baffes créent des dégénérés immatures qui ont peur de l’autorité qu’ils confondent souvent avec de l’agressivité, quand ce ne sont pas ces mêmes personnes qui perdent leur contrôle parfois. Et puis, je continue parce qu’il s’agit d’un fait gravissime d’un adolescent qui a défénestré son père, je me permets d’essayer de comprendre pourquoi les voisins ne sont pas intervenus soit directement auprès de la famille, soit en interpellant les forces de l’ordre ou un service social? Si c’est pour ne pas risquer d’ intervenir dans l’intimité d’une famille, le résultat est franchement raté.
Une belle branlée, voilà ce qu’il mérite, malade ou pas.