À Narbonne, une découverte choquante a été faite dans un appartement du centre-ville, vendredi 18 octobre. Alertée par une voisine en raison d’une odeur insupportable, la police a découvert le corps d’un homme en décomposition, mort depuis une dizaine de jours. Son colocataire, qui vivait toujours sur les lieux, a été interpellé et placé en garde à vue, puis mis en examen.
Il n’a pas signalé le décès de son colocataire
Une macabre découverte a eu lieu dans un appartement du centre-ville de Narbonne, le vendredi 18 octobre. Alertée par une voisine qui ne supportait plus une odeur insupportable émanant du logement voisin, la police est intervenue sur place. En pénétrant dans l’appartement, les forces de l’ordre découvrent le corps d’un homme en état de décomposition avancée, étendu sur son lit. Selon les premières estimations, la mort serait survenue une dizaine de jours auparavant.
L’état de l’appartement, d’une saleté indescriptible, a surpris les policiers, tout comme la présence du colocataire de la victime, qui continuait à vivre dans ces conditions malgré l’odeur nauséabonde. L’homme, qui n’avait pas signalé le décès de son colocataire, a été immédiatement interpellé et placé en garde à vue.
Ils vivaient dans un climat quotidien de tensions
L’enquête de voisinage révèle une situation de dénuement total entre les deux hommes. Ils vivaient dans un climat quotidien de tensions, marqué par la pauvreté, l’alcool, et des altercations fréquentes. Le colocataire interpellé a un lourd passé judiciaire, avec de multiples condamnations, notamment pour des faits de violences. Il a été mis en examen à l’issue de sa garde à vue et écroué.
La police, qui s’interroge sur les circonstances du décès, attend les résultats de l’autopsie pour déterminer si la mort de la victime est liée à une cause naturelle ou à un acte criminel. Les voisins, quant à eux, ont décrit une ambiance délétère qui régnait depuis longtemps dans cet appartement. L’autre colocataire, dont le comportement reste encore inexpliqué, a également été vu par un psychiatre avant d’être entendu par le juge d’instruction. Une enquête a été ouverte pour éclaircir les conditions d
Sur deux abrutis au moins il y en aura un en moins…..
Il avait peut-être la covid et donc une perte totale d’odorat ………..!
Manque d’odorat sans doute ?
Encore un à qui on va trouver un problème psychiatrique👹