Selon une source policière, l’une de ses «œuvres» a même été diffusée sur le site de la «Fondation I’lam», le principal canal de propagande de Daech. L’homme de 26 ans a été mis en examen pour «association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes d’atteinte aux personnes» et a été placé en détention provisoire.
L’équipe pédagogique se dit «choquée»
Le jeune instituteur a la double nationalité franco-algérienne. Il était inconnu de la justice jusqu’à présent. En garde à vue, il niera les faits expliquant qu’être djihadiste est contre les valeurs de la République. Pourtant, les enregistrements que les enquêteurs ont trouvé chez lui ne laissent aucune place au doute. Selon une source proche du dossier, le suspect été mis en examen pour «association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes d’atteinte aux personnes». Et comme le parquet national antiterroriste (PNA) le demandait, il a été placé en détention provisoire.
Toutefois, s’il n’a pas de casier judiciaire, il était bien sous surveillance depuis quelques années. Une source du Renseignement viendra confirmer que l’homme de 26 ans «est dans nos radars en raison de son activité sur les réseaux sociaux ». Il est ainsi soupçonné de diffuser en privé de la propagande djihadiste, utilisant des profils aux noms sans équivoque. Si, pour son avocate, «c’est un enseignant parfaitement intégré dans la vie française», les perquisitions à son domicile vont montrer un tout visage du suspect. Les enquêteurs vont découvrir de la propagande djihadiste téléchargée, relayée et surtout une production «personnelle». Il semble être passer maître dans la composition de «nasheed» en français exaltés, dont un certain nombre serait clairement dédié à l’État islamique.
Étudiant, il croise le chemin de nombreux djihadistes qui ont défrayé la chronique
Toujours selon la même source, de 2015 à 2018, il est étudiant à l’Institut européen des sciences humaines de Saint-Denis. Cet établissement très controversé forme notamment des imams et est suivi de très près par les Services de renseignement. Parmi les anciens étudiants, on trouve par exemple le djihadiste Reda Hame, recruté en Syrie pour venir frapper une salle de concert à Paris. Ou encore Inès Madani, condamnée à trente ans de réclusion, pour avoir tenté de faire exploser une voiture près de Notre-Dame en 2016. Si l’école où il travaillait n’avait rien à lui reprocher, son ministère de tutelle indique que «cet enseignant n’avait pas encore suivi de formation relative à la laïcité et qu’il n’exerçait pas de fonction de référent».
« son ministère de tutelle indique que «cet enseignant n’avait pas encore suivi de formation relative à la laïcité et qu’il n’exerçait pas de fonction de référent». »
L’éducation nationale s’excuse par avance.
Voilà donc la cause exacte de son dérapage, le juge qui aura à régler cette affaire, doit l’obliger à suivre cette formation, et tout sera réglé, surtout pas de condamnation ça va le radicaliser. Comme il semble aimer chanter peut être un mois dans l’armée pour lui apprendre LA MARSEILLAISE, que lui même enseignera à ses élèves.
Tout les services publics sont infestés par l’islamisme radical l’éducation nationale n’est pas épargné par ce fléau.
Par la lâcheté de notre gouvernement et de ses prédécesseurs.
Foutez le lui et son avocate dans une coquille direction le bled !! Pas besoin de ce rat chez nous !!
tout a fait d’accord avec vous ,direction le bled puis tu les largues par dessus bord sans parachutes pas besoin de poser l’avion sa coute cher les pneus …