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Dimanche 9 février, une intervention rapide et maîtrisée des gendarmes de l’Oise a permis de sauver un bébé de 15 mois, retenu et menacé de mort par son père à Noyon. Alertée par la mère de l’enfant, la gendarmerie est intervenue en urgence pour neutraliser l’individu et sécuriser le nourrisson.
Un appel d’urgence pour sauver un enfant en danger
Vers 20h30, le Centre opérationnel de la gendarmerie reçoit un appel alarmant d’une mère en détresse. Son ex-compagnon, qui l’aurait violentée plus tôt dans la journée, refuse de lui rendre leur enfant et menace de le tuer tout en tenant des propos suicidaires. La situation est d’autant plus inquiétante que la mère affirme que l’homme est en possession d’une arme à feu.
Les autorités prennent immédiatement la situation au sérieux et déploient une unité spécialisée, le Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Compiègne, afin de sécuriser les lieux et neutraliser la menace.
Une intervention rapide et maîtrisée
Sur place, les gendarmes constatent que l’homme est retranché dans son domicile. Fort heureusement, aucun coup de feu n’est tiré au cours de l’opération.
Lorsqu’ils parviennent à maîtriser l’individu, les militaires découvrent que l’arme mentionnée n’est en réalité qu’une réplique de type airsoft. L’homme est interpellé sans incident, garantissant la sécurité de l’enfant retrouvé sain et sauf dans son lit. Le nourrisson a été immédiatement remis à sa mère.
L’auteur placé en garde à vue
L’homme, dont l’identité n’a pas été révélée, a été placé en garde à vue pour répondre des violences commises sur son ex-conjointe ainsi que des menaces de mort proférées à l’encontre de son propre enfant.
Cette intervention exemplaire a été saluée par la gendarmerie de l’Oise, qui a souligné l’efficacité et la rapidité d’action de son équipe sur les réseaux sociaux.
Grâce à la réactivité et au sang-froid des gendarmes, ce qui aurait pu tourner au drame s’est finalement soldé par un dénouement sans violence, permettant au nourrisson de retrouver sa mère sain et sauf.
« L’homme, dont l’identité n’a pas été révélée »
ça veut tout dire !!!
Pourquoi ne pas révéler l’identité il faut protéger les fous??
Il faut croire … Et des fous, il y en a de plus en plus, malheureusement ! La société telle que nous la subissons en fabrique à tours de bras, entre les pressions insensées au travail, les injustices, l’insécurité, le mal être et les difficultés en tous genres qui s’accentuent, les gens sous drogue ou antidépresseurs, etc ….. Cela ne peut que s’accentuer.