Sa victime, un homme de trente de 30 ans, a été retrouvé mort, tué de plusieurs coups de couteau quelques heures avant l’interpellation du suspect. Le parquet de Bayonne a ouvert une information judiciaire pour «assassinat». Les cas d’homicide par arme blanche sont devenus quotidiens en France depuis plusieurs mois maintenant.
Un suspect interpellé quelques heures seulement après le meurtre du trentenaire
Aidées de différents témoignages et des images de vidéosurveillance, les forces de l’ordre ont trouvé le suspect quelques heures après la découverte du corps sur le parking de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Bayonne Pays Basque. Il a été placé en garde à vue au commissariat de la ville. Le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, a expliqué qu’«il s’agit d’un jeune homme, d’origine afghane comme la victime, âgé de 25 ans».
Et d’ajouter que ses services ont ouvert une enquête pour «assassinat». Nos confrères de France Bleu ont aussi appris d’une source proche de l’enquête que le suspect est par ailleurs fiché S pour radicalisation. Néanmoins, selon la même source, le motif du meurtre ne serait pas motivé par des revendications islamistes. La piste du règlement de compte semble être privilégiée.
Un autre crime commis au couteau
Les policiers constatent que, hormis dans les cas de règlements de compte dans les affaires de stupéfiants, la plupart des meurtres sont désormais commis à l’arme blanche. Ici, selon les premiers éléments de l’enquête, il semble que les deux hommes travaillaient au même endroit et auraient eu une violente altercation la veille du drame. Le corps du trentenaire avait été retrouvé au petit matin sur les Allées marines à Bayonne par un passant qui avait contacté le commissariat. Les enquêteurs ont noté que neuf coups de couteau étaient à l’origine du décès de la victime. Le parquet a annoncé poursuivre l’enquête afin de déterminer les motivations du suspect.
Je crois qu’il va falloir ouvrir les yeux. Ils sont désormais en guerre ouverte contre nous. La première phase était l’envahissement (toujours en cours). Et dès lors qu’ils sont assez nombreux, ils passent à l’acte et agressent les autochtones, c’est à dire nous. Et sous toutes les formes. On viole, on poignarde et on s’en prend aux institutions pour les empêcher de fonctionner. Examinez bien la situation.
Fiché S, radicalisé et encore en France. Il aurait dû être renvoyé dans son pays.
quand le gouvernement prendra-t’il en compte l’insécurité qui règne en France pour les français.
Le gvt.?, vous êtes étonné.?, avec Macron il n’y a que du bla,bla et du pipo…..
La chef du gouvernement a déclaré récemment qu’il n’y a pas d’insécurité en France. Il est vrai qu’elle dispose d’un service de sécurité de la police payé avec nos impôts, alors elle peut se foutre de la gueule des Français.