Cette nouvelle affaire montre à nouveau l’entrisme très puissant du salafisme dans les établissements scolaires. Contacté par nos confrères de BFM TV, le maire de la commune, Valentin Rabot, a confirmé une agression «sur fond religieux». Cependant, l’édile appelle à «une nécessaire gradation entre cet événement et les autres agressions bien plus graves relayées ces derniers jours dans la presse». En effet, cette nouvelle agression intervient après l’attaque de la jeune Samara qui était habillée «à l’européenne» et au meurtre de Shamseddine, qui avait parlé à une jeune fille musulmane.
Le silence assourdissant de Nicole Belloubet
La ministre de l’Éducation nationale ne s’est fendue d’aucun communiqué concernant cette agression. Alors que de plus en plus de jeunes français de confession musulmane sont violemment agressés, voire tués, quand ils ne respectent pas strictement les lois islamiques, Belloubet n’interviendra pas pour défendre la liberté et la laïcité au sein de l’école publique. Les scènes citées ci-dessus sont attendues en Iran, en Afghanistan ou au Pakistan. Pourtant, ces attaques ont bien lieu en France, quelle que soit la taille de la commune. Ici, la collégienne de 13 ans a été passée à tabac par quatre jeunes hommes qui lui auraient reprochée de ne pas respecter le Ramadan.
Le parquet de Strasbourg ne veut «tirer aucune conclusion» pour le moment
Celui-ci indique, dans un communiqué, qu’il «est confirmé qu’une adolescente de 13 ans et demi s’est présentée mardi 9 avril à la brigade de Wolfisheim avec l’un de ses représentants légaux (son père, NDLR) afin d’y dénoncer une altercation verbale subie dans le bus l’amenant au collège d’Achenheim en début d’après-midi avant la reprise des cours puis une altercation physique entre l’arrêt de bus et le collège». Et d’ajouter qu’«une enquête a immédiatement été ouverte afin d’établir le contenu des propos tenus dans le bus, la portée des violences dénoncées comme ayant été commises par quatre jeunes du collège, mineurs et surtout l’identification des mineurs en cause». Le parquet conclura qu’«il est prématuré dès lors, à ce stade de l’enquête, de tirer toute conclusion quant à la nature des faits et leur qualification juridique».
Mais nous allons devoir supporter ça jusqu’à quand ? Désormais, ceux qui ne prennent pas ce problème au sérieux et qui désirent une immigration « porte grande ouverte » doivent être considérés soit comme des complices des passeurs, soit comme des gens animés d’une haine contre notre pays et doivent être sanctionnés comme tel.