Dans la nuit de lundi à mardi, un immeuble du 18e arrondissement de Paris a été secoué par la découverte du corps sans vie d’une jeune femme de 21 ans, volontaire aux Jeux olympiques, dans un modeste HLM.
Une mort violente
La victime présentait des signes de violence, notamment un hématome et du sang au niveau du cou. Les voisins, choqués, ont témoigné de l’horreur de cette nuit, marquée par les cris déchirants de la mère de la victime et l’arrivée massive des forces de l’ordre.
Un homme interpellé
Un suspect, décrit par les voisins comme habituellement poli et élégant, a été arrêté sur place. Cet homme, d’origine africaine et connu des habitants, aurait été vu dans un état d’ébriété la nuit du drame. Il aurait également tenté d’entrer par erreur dans un appartement voisin avant de regagner le sien. Le comportement étrange de l’homme a intrigué les résidents. De plus, il aurait envoyé un texto à sa compagne, avouant une « connerie ». Les enquêteurs, alertés par ce message, ont rapidement remonté sa piste.
La victime et l’agresseur se connaissaient
Selon certaines sources, la victime pourrait avoir été la maîtresse du suspect depuis plusieurs années, bien que cette hypothèse ne soit pas confirmée par tous les voisins. Ce qui est certain, c’est que des cris avaient déjà été entendus la veille de la tragédie, mais les habitants n’y avaient pas prêté attention, habitués aux disputes fréquentes dans l’immeuble. Les enquêteurs continuent de travailler sur cette affaire, la tension parmi les résidents est palpable face à ce meurtre tragique et inexpliqué.
Les voisins ont témoigné de l’horreur de cette nuit, mais quand ils entendent des cris de dispute, ils ne bougent pas, quand un homme en état d’ébriété essaye de rentrer dans un appart qui n’est pas le siens, ils ne bougent pas. En fait, ils ne bougent jamais sauf quand le mal est fait. Ils veulent bien témoigner, « oui j’ai tout entendu, mais vous savez, je ne veux pas de problèmes » mais trops tard.
Une fois de plus, cela montre bien le chacun pour soit même devant le malheur des autres.
Pour conclure, un homme d’origine africaine au coeur du problème, comme dans une musique de ce chanteur canadien « et cela continue encore et encore ».
encore un mouton ou éléphant rose , pas de nom,pas visage , rien à la première page des journaux ….