Une femme a été jugée au cours du mois d’octobre, par le tribunal de Blois pour délaissement de mineur, d’après les informations de La Nouvelle République. En mai dernier, dans la commune de Montrichard-Val-de-Cher (Loir-et-Cher), elle a été aperçue abandonnant une poussette contenant un nourrisson, près d’un restaurant.
Des passants contactent les autorités
Une femme a été jugée, au cours du mois d’octobre, par le tribunal de Blois pour délaissement de mineur, d’après les informations de La Nouvelle République. En mai dernier, dans la commune de Montrichard-Val-de-Cher (Loir-et-Cher), elle a été aperçue abandonnant une poussette contenant un nourrisson, près d’un restaurant. Alertés par les pleurs de l’enfant, des passants contactent rapidement les gendarmes, qui se rendent sur place pour s’occuper de l’enfant.
Deux jours après l’incident, la mère du bébé se présente à la gendarmerie d’Amboise, dans le département voisin de l’Indre-et-Loire, pour signaler l’enlèvement de son fils. Elle explique aux autorités qu’elle a temporairement confié l’enfant à une nièce, mais que cette dernière l’aurait abandonné sans son consentement dans la rue. Elle avance qu’elle souhaitait se reposer un peu et que sa nièce aurait dû s’occuper du nourrisson. Une version qui n’a pas convaincu les enquêteurs.
Le bébé placé jusqu’en mai prochain
Le quadragénaire est en situation irrégulière en France. Au cours de son procès, elle maintient son récit, prétendant que sa nièce, dont elle n’a cependant pas pu fournir l’identité, aurait abandonné l’enfant contre sa volonté. Toutefois, l’analyse des enregistrements des caméras de sécurité, visionnés en détail par les autorités, révèlent que c’est bien elle qui a laissé le bébé, contredisant ainsi ses déclarations.
Devant ces preuves accablantes, le tribunal condamne la mère à trois ans de prison avec sursis. En plus de cette peine, elle est condamnée à verser une indemnité de 2 000 euros à l’Union départementale des associations familiales (Udaf), qui gère les intérêts des enfants en difficulté. Cette somme sera placée sur un compte et sera accessible à l’enfant lorsqu’il atteindra sa majorité. Pour l’instant, le nourrisson a été confié à une famille d’accueil, où il demeurera jusqu’à la fin du mois de mai de l’année prochaine, permettant aux services sociaux d’assurer sa protection et son bien-être.
Retour au pays après l’avoir stérilisée
situation irrégulière alors retour au pays, ras le bol de ces profiteurs étrangers qui ne sont là que pour les aides pendant que nous on travaille pour payer ces fainéants
« Une quadragénaire en situation irrégulière »… donc, une étrangère dont les passeurs et autres associations d’aide aux migrants l’ont informée de l’aide généreuse que la France offre aux simili-parents nécessiteux ! L’enfant sera protégé et entretenu jusqu’à sa majorité parce que sa mère avait envie de liberté dans ce qu’elle appellera « son pays d’adoption » !
Et on nous augmente les impôts pour assurer ce genre d’abus !
Tout à fait d’accord
Encore un pauvre petit être qui commence bien mal dans la vie …
Quand on ne peut pas les nourrir on ne les fait pas!