La mère d’un garçon de onze ans après avoir déposé plainte pour « violences aggravées », après avoir récupéré son fils couvert de bleus et profondément traumatisé, après une colonie organisée par un organisme mandaté par la Communauté de communes Sommes Sud Ouest (CC2SO), dans le Finistère, selon France Bleu Picardie, dimanche 1er août.
Des persécutions incessantes de la part de trois garçons plus âgés
La mère d’un garçon de onze ans après avoir déposé plainte pour « violences aggravées », après avoir récupéré son fils couvert de bleus et profondément traumatisé, après une colonie organisée par un organisme mandaté par la Communauté de communes Sommes Sud Ouest (CC2SO), dans le Finistère. « Voilà comment je récupère mon fils après une semaine de colonie de vacances », dénonce-t-elle dans un post Facebook accompagné de photo.
L’enfant raconte à sa mère avoir été victime de persécutions incessantes de la part de trois garçons plus âgés, âgés de 12 à 13 ans. Selon lui, ses agresseurs le réveillaient avec des gifles et le frappaient régulièrement tout au long de la journée, particulièrement lors des pauses, et cela chaque jour de la semaine. Profitant des moments où les enfants étaient censés être sous surveillance, notamment dans les douches, les trois garçons en question l’ont non seulement frappé, mais aussi menacé de mort.
Personne parmi les organisateurs ne semblait avoir remarqué son absence
La victime a décidé de ne pas se laver durant tout le séjour, de peur de subir d’autres agressions dans ces espaces non surveillés. La situation se serait aggravée quand il a tenté de se défendre alors que ses agresseurs tentaient de lui enlever son pantalon. Effrayé et épuisé, il a passé une journée entière caché dans un buisson, ne se présentant même pas au dîner ce soir-là. Ce qui a surpris sa mère, c’est que personne parmi les organisateurs ne semblait avoir remarqué son absence.
Elle accuse les responsables de la colonie de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour protéger son fils, malgré ses appels à l’aide. Selon elle, les encadrants « n’ont rien fait » alors que Jean leur avait confié ce qu’il endurait. Suite à ces événements, la CC2SO a annoncé l’ouverture d’une enquête interne et envisage de se joindre à la plainte déposée par la mère. Cécile Lemaire a déjà pris rendez-vous pour un examen médical et a officiellement porté plainte pour « violences aggravées » contre les auteurs des agressions.
Il faut aller jusqu’au bout, dépôt de plainte, les encadrants doivent être sanctionnés, et ne plus approcher ni encadrer des jeunes! C’est scandaleux! J’ai des petits enfants et mon petit fils se faisait battre pendant la récréation. Les surveillants ( jeunes , après le déjeuner) ne surveillaient rien. Ils se regroupent et discutaient entre eux!!!!!
Elle a intérêt de le faire et si rien n’aboutit faire subir à ses déchets ce qu’ils ont fait à son fils, ils prennent n’importe qui dans les encadrants qui s’en foutent complètement souvent se sont des jeunes qui ne pensent qu’à faire la fête et ne s’occupent pas des enfants, cela parait incroyable qu’ils étaient les responsables au courrant, j’espère qu’ils n’auront plus le droit d’exercer avec une super amende qui lui reviendra, bravo pour ses colonies…..