Paulette, une résidente de 86 ans, s’est suicidée devant son mobil-home, accablée par la menace d’expulsion qui pesait sur elle depuis le rachat du camping où elle vivait par une grande entreprise. Ce geste désespéré a choqué les autres habitants du site, qui partagent désormais l’angoisse de devoir quitter leur domicile sans véritable alternative.
Elle explique son désespoir face à la situation dans une lettre
Un drame a secoué le camping Chantecler à Aix-en-Provence, où une octogénaire de 86 ans, Paulette, s’est suicidée devant son mobil-home, jeudi 17 octobre, selon France Bleu Provence. Vivant dans ce camping depuis plus de 30 ans, elle a mis fin à ses jours suite à la menace d’expulsion suite au changement de propriétaire et aux travaux de rénovation à venir. Une lettre retrouvée sur les lieux a confirmé ses intentions, expliquant son désespoir face à la situation, selon La Provence.
Début octobre, Paulette a partagé son désarroi face à la menace de devoir quitter sa maison, affirmant que cela l’avait « détruite ». Elle confiait avoir perdu une dizaine de kilos, subissant une pression qu’elle ne pouvait plus supporter. Un résident du camping, Olivier, témoin de son quotidien, a exprimé son choc : « La petite dame, je la voyais monter tous les jours. Elle s’arrêtait pour faire des papouilles au chien. C’est terrible ce qui s’est passé ».
Rachetés par le groupe lyonnais Huttopia
Le camping Chantecler, qui appartenait à une famille jusqu’au printemps 2024, a été racheté par le groupe lyonnais Huttopia. Le camping, destiné à des rénovations, est désormais fermé jusqu’à l’année prochaine. Huttopia n’a pas réagi publiquement à ce drame. Nahya, une autre résidente du camping, explique qu’elle se « retrouve à la rue avec mes trois enfants, mais on comprend que c’est une grosse compagnie, pas là pour faire de la charité », a-t-elle expliqué. Depuis août, six résidents permanents ont été informés qu’ils devaient quitter les lieux.
Les habitants ont aussi dénoncé les méthodes employées pour précipiter leur départ. « Ils ont coupé l’électricité, puis l’eau… C’est fait de manière brutale », ont-ils regretté. Nadine, 81 ans, a dû abandonner à contrecœur son habitation qu’elle occupait depuis 18 ans. « J’ai fait beaucoup de travaux, car je pensais rester ici. Le seul reproche que je fais, c’est qu’on n’a pas eu le temps de se retourner », dit-elle. Elle a néanmoins trouvé un nouvel appartement. Quant aux autres résidents, ils doivent maintenant retrouver un toit pour éviter de se retrouver à la rue.
C’est honteux et scandaleux.
Honte à La France
Paulette aurait pu être relogée prioritairement par rapport à son âge. Seulement voilà, les alertes sociales sont débordées, elle n’a eu également certainement aucune aide de ces nombreuses associations subventionnées qui se sont spécialisées dans le juteux secteur de l’aide aux migrants. Car voilà, et c’est un fait, il y a pénurie de logements aggravée par la folie migratoire et les gens comme Paulette ne sont pas prioritaires. ces migrants que nous ne sommes plus en capacité de recevoir arrivent en flots ininterrompus et l’état, totalement débordé, les répartis partout sur le territoire pour ne pas voir pousser des villages de tentes à Paris. Et quand elles arrivent dans les villes de province, elles bénéficient souvent, quand elles ne sont pas logées à l’hôtel au frais du contribuable, de passes droit coupant les filles ou des familles attendent parfois depuis des années d’avoir un logement social. A l’autre bout du spectre, l’aide à l’enfance qui récupère les dizaines de milliers de « mineurs isolés non accompagnés » ne sait plus ou loger les enfants victimes de violence familiales dont elle devrait s’occuper.
Exactement, c’est honteux de voir cette femme à cet âge là de ne pas lui proposer un logement prioritaire décent, en plus aucune aide de nombreuses associations subventionnées qui préfèrent s’occuper de l’aide aux migrants, saloperies d’associations……
Il est vrai que « Paulette », c’est le genre de prénom qui n’émeut pas nos cherzélus. Ah si elle avait porté un prénom exotique il est certain que la mairie, la communauté de communes, la Métropole, le département et peut-être la région : (ces bureaux « harrassant » ou 45% des pauvres fils et filles, maîtresses ou gitons, de nos cherzélus et vaillants syndicalistes, que nous entretenons, sont en maladie les trois quart du temps), se seraient occupé d’elle. Mais non elle se prénommait Paulette aucun intérêt pour se faire mousser.
Complètement d’accord avec vous et les français je me demande si ils s’en rendent compte de l’imposture de tous ses établissements fait pour bcp de pistonner…….
tout ce paie cash dans la vie et je pense que les responsables de cela vont avoir un retour de bâton tôt ou tard
C’est horrible , monstrueux, inhumain. ! il n’y a que le fric qui compte ! Traitent-ils leurs vieux parents de la sorte ? Mettez-vous un peu à la place de ces pauvres gens messieurs, proposez-leur au moins une solution de logement enfin !
On rachète, on vire les personnes qui y vivent à l’année sous prétexte de rénovation… mais il faudra voir si il y a rénovations ou si ce sera donné à de nouveaux occupants qui EUX ont droit à tout sans rien débourser.
Oui c’est MONSTREUX….notre pays devient de plus en plus inhumain