Image d'illustration @AdobeStock
L’incident est survenu à l’école de l’Aubetin à Villiers-Saint-Georges, en Seine-et-Marne, le 3 février dernier. Il soulève de profondes inquiétudes sur la banalisation de la violence chez les plus jeunes. Ici, un enfant de 8 ans, élève de CM1, s’est présenté à l’école avec un couteau de 20 cm, affirmant vouloir «tuer» un camarade à cause du harcèlement qu’il subissait. Un acte choquant qui a profondément marqué l’ensemble de la communauté scolaire, et qui a entraîné une réaction radicale des institutrices de l’école, qui ont décidé de ne pas faire cours le lundi 10 février 2025.
Les attaques au couteau se banalisent même dans les cours d’école
Cet événement illustre une montée inquiétante de comportements violents chez des enfants très jeunes. Le maire de la commune, Tony Pita, a relaté les circonstances dans lesquelles l’enfant a été intercepté. Alors qu’il se trouvait dans la chaufferie de la mairie, la grand-mère de l’enfant est venue lui confier que son petit-fils refusait de lui rendre le couteau qu’il avait caché dans sa poche. Il s’agit d’une lame de 20 cm, loin d’être un simple canif. Après avoir pris possession de l’arme, le maire a alerté les gendarmes et la directrice de l’école. Une plainte a été déposée par les parents du camarade visé.
La petite école dépassée par un tel évènement
En effet, cet incident a profondément choqué non seulement les parents d’élèves, mais aussi le personnel enseignant. Ce dernier a décidé de ne pas reprendre les cours, comme le rapporte nos confrères du site Actu.fr. L’inquiétude est palpable, d’autant que la directrice a demandé l’exclusion temporaire de l’enfant. Néanmoins, cette mesure a été refusée par l’Académie en raison des restrictions légales. L’enfant a finalement été pris en charge par des professionnels de la santé mentale, tout comme les autres élèves et enseignants de l’école. Ils ont été accompagnés par un psychologue de l’Éducation nationale. Ce drame soulève la question de savoir comment un enfant de 8 ans peut en arriver à ce niveau de violence? Heureusement, l’enfant visé n’a subi aucune blessure.
Ah ce nouveau monde, c’est vraiment que du bonheur ! Merci Mr Macron.
Si il subissait des harcèlements de la part d’un de ses camarades, aussi il a trouvé ce qu’il pensait de mieux pour se défendre, peut-être qu’il n’en parlait pas aux parents, c’est dommage, mais aussi l’agresseur doit être exclu de l’école si cela est véridique, si il n’avait pas agressé cela ne se serait pas passé…..
avec des SI on referait le monde
Avec des si on peut servir à s’améliorer…..
Au risque de déplaire, je dis que ce jeune garçon à bien réagi, même si sa réaction est quelque peu disproportionnée. Il a réagi fortement contre son agression, pour moi c’est une réaction saine et logique ; bien qu’elle ne soit malheureusement plus dans l’air du temps.
J’ai moi-même été harcelé quand j’avais son âge. Trois garçons se moquaient sans cesse de moi parce que j’étais de petite taille et mal habillé. Cela a duré quatre jours, pas plus, parce que j’ai utilisé mes poings pour me défendre. J’ai éclaté les deux narines d’un de ces trois garçons. J’ai tout de suite été tranquille et respecté.
Jamais ensuite dans ma vie je n’ai chercher querelle à qui que ce soit, sachant le mal que peuvent faire les mots qui, souvent, sont plus violents que des coups. Par contre, je ne me suis jamais laissé faire non plus.
Le seul tort qu’ a eu ce jeune garçon est d’apporter un couteau avec lui. Ses poings auraient du lui suffire.
Je suis d’accord tout le monde scolaire semble ou fait semblant de l’ignorer mais il était victime de harcellement ! c’est vrai que la réaction était disproportionnée mais s’il avait parlé à sa famille de sa soufrance sans qu’ils réagissent c’est peut-être la seule solution qu’il a trouvé ! Et au harceleur on ne lui dit ou fait rien ? je trouve anormal !
Je suis une fille de 78 ans et j’ai moi-même été un peu » bousculée » et moquée pour ma petite taille. Mais je ne me suis jamais laissée faire et après on ne m’embetait plus !
Le harcellement est le mal du siècle apparemment et il est trop souvent ignoré!
Vous vous avez su réagir comme il faut donc vous aviez une éducation vous qui vous avez préparé à cela.
Pour ce gamin qui sait s’il en a parlé à ses parents de ce qu’il subissait et qu’elle a été la réaction des parents.
Malheureusement maintenant les gamins sont livrés à eux-mêmes sans encadrement parental… leur éducation LA TELE AVEC DES SERIES DE MERDE… et un accès à internet sans contrôle… alors le gamin : traité comme un adulte et les parents stérilisés et en taule si on n’est pas capable d’élever ses enfants correctement en n’en fait pas.
Oui, quand l’éducation et le bon sens font défaut, voilà où on en arrive ! D’une part, l’enfant n’a pas à être harcelé, si c’est le cas, les adultes doivent intervenir (d’ailleurs si les enfants étaient surveillés correctement, cela n’arriverait pas) ; d’autre part, la violence étant devenue monnaie courante dans ce pays, il ne faut pas s’étonner que de très jeunes enfants y recourent. Tout est à revoir : éducation et sanctions accompagnés de cours de morale sont indispensables.
L’éducation bienveillante est prônée depuis cinquante ans et elle est sans doute arrivée de nos jours à son sommet. L’école et ses vaillants fonctionnaires, ses outils scripteurs, et mucilagineux soustractifs ne sait plus apprendre à lire, les quatre opérations sont un problème insurmontable, et le malheureux qui saurait lire se voit contraint de lire des bouquins moralisateurs emm…. comme la pluie… Ce brave Edmond de Goncourt avait-il tort quand il écrivait : « les enfants c’est comme la crème, les plus fouettés sont les meilleurs » ?
Ah l’éducation bienveillante, qui dans les cités finit en général par l’éducation par le chouf et le dealer ! Braves enfants… ils sauront se servir de la kalashnikov avant de connaître la table de multiplication ! L’école elle même avec ses outils scripteurs, ses outils mucilagineux soustractifs, ne sait même plus enseigner ni à lire, ni à faire les quatre opérations… Quand au malheureux qui commence à lire, il faut vite le dégouter des livres avec des ouvrages moralisateurs et particulièrement ennuyeux. Ce brave Edmond de Goncourt avait-il tort quand il écrivait : « les enfants c’est comme la crème, les plus fouettés sont les meilleurs » ?
Ah l’éducation bienveillante, qui dans les cités finit en général par l’éducation par le chouf et le dealer ! Braves enfants… ils sauront se servir de la kalashnikov avant de connaître la table de multiplication ! L’école elle même avec ses outils scripteurs, ses outils mucilagineux soustractifs, ne sait même plus enseigner ni à lire, ni à faire les quatre opérations… Quand au malheureux qui commence à lire, il faut vite le dégouter des livres avec des ouvrages moralisateurs et particulièrement ennuyeux. Ce brave Edmond de Goncourt avait-il tort quand il écrivait : « les enfants c’est comme la crème, les plus fouettés sont les meilleurs » ?
Je m’étonne qu’il n’y pas plus de victimes dans un pays où ils y à 120 attaques aux couteaux par jour ….. et ce chiffre date de 2017 et depuis ces chiffres ne sont plus divulguer ni publiés car en pleine expansion.
On se demande comment cet enfant en est arrivé a ce point ??? avez-vous bien pris en compte tous les éléments? ce petit garçon se faisait harcelé, du coup qu’en est-il du harceleur?, va t il être exclu également? ….
Le Harcèlement scolaire devient une banalité et aujourd’hui on s’étonne qu’un petit garçon prenne un couteau pour ne plus être victime au lieu de se suicider?
En effet c’est une réponse disproportionnée, mais que fait l’éducation nationale et la justice contre tous ces Harceleurs, qui bien souvent restent dans l’établissement d’origine, dont la victime doit elle-même changer d’établissement???
Aucun sens des réalités et du respect…
vive les jeux vidéos violents sans contrôle ! 🙁
la politique de l’enfant-roi porte ses fruits , l’enfant dès tout petit a des reflex d’autodéfense il ne sait ou est le bien et le mal. si personne ne lui apprend à faire la différence et si les parents non plus les moyens de le lui apprendre on aboutit à cela.j’ai reçu pas mal de fessées étant jeune je n’en suit pas mort pour autant et j’ai fini ma carrière proviseur de lycée. bien entendu il y a a faire la différence entre fessées et maltraitance. En Guyane des parents on carrément remis leurs enfants aux assistantes sociales et à partir de là bonjour les dégâts placement déplacement instabilité caractérielle puis délinquance bref je m’arrête là en vous disant que j’ai peur de voyager vers la métropole avec le taux de criminalité qui existe dans ce pays. je marche tout le temps en position mirador