Elle est sous surveillance des services français depuis 2013 où, selon une source gouvernementale, présidente d’une association, elle avait organisé une collecte de fonds pour acheminer du matériel médical et des médicaments en Syrie. «Il a été établi par la suite, que ces fonds, récoltés pour un motif humanitaire, avaient été acheminés, durant l’été 2013, dans la région d’Idlib en Syrie, au profit de jihadistes, dans la perspective d’acquérir des armes et des munitions» explique cette même source.
Condamnée en février 2019 et visée par un mandat d’arrêt international
Mardi 31 octobre, le ministère des Affaires étrangères a annoncé le décès de deux enfants français. Cependant, le Quai d’Orsay n’arrive pas à entrer en contact avec leur mère, qui «aurait elle-même été blessée, de même que son troisième enfant». Le ministère de Affaires étrangères précise: «Nous demandons instamment à nouveau à ce que les ressortissants étrangers et notamment nos compatriotes puissent sortir de Gaza (…) La France réitère son appel urgent à une trêve humanitaire afin que l’aide humanitaire puisse parvenir à ceux qui en ont besoin».
Selon une source proche de ce dossier, dont les informations ont été vérifiées par nos confrères de BFMTV, si Paris s’interroge sur la raison de la présence de ces enfants dans cette zone où l’alerte avait été donnée par Israël, on ne dispose que du dossier sur le passé criminel de la mère. Son nom n’a pas été communiqué à la presse ni le lieu dont elle est originaire en France. Toujours selon une source judiciaire, nous avons appris que cette femme, née en 1980, a été condamnée en février 2019 pour «association de malfaiteurs terroriste» et «financement du terrorisme».
La mère de famille est activement recherchée
Elle n’était pas présente à son procès. La femme de 43 ans fait l’objet d’un mandat d’arrêt depuis 2016. En effet, en 2013, alors présidente d’une association, elle avait organisé une collecte de fonds pour acheminer du matériel médical et des médicaments en Syrie. Toutefois, il sera prouvé que l’argent récolté servira à financer des groupes terroristes basés en Syrie. De plus, la même source indique qu’elle est aussi soupçonnée d’avoir «apporté un soutien logistique, ainsi que des fonds auprès de personnes proches du Hamas et du Jihad islamique palestinien».
Va t-on encore longtemps continuer à noyer le poisson et écouter tous les mensonges du Hamas ? Cette femme n’était pas une palestinienne mais bel et bien un membre du Hamas et elle a entrainé ses deux enfants dans la mort. Une pourriture sans âme, comme tous les membres du Hamas. Israël sait pertinemment ce qu’il fait et c’est pour ça qu’il n’écoute pas les appels à la trève.
Les civils qui sont toujours présent à Gaza, pour moi sont des partisans du Hamas: Israël avait prévenu de quitter la zone avant les bombardements. Mais cela permet d’accuser Israël de tirer sur des civils (salope de terroriste!), toujours aussi fourbe ces « Mécréants ».
Attention , notre Mélenchon va demander à la France de rapatrié cette femme , dommage que les bombardements ne l’ai pas détruite !!