Cette enquête a été ouverte en juin 2022 à la suite de signalements de l’Agence française anti-corruption et de l’association de lutte contre la corruption Anticor. L’information a été confirmée par le parquet de Nanterre, dans les Hauts-de-Seine.
Une subvention de plus d’un million d’euros
L’association Anticor a alerté la justice sur une subvention de plus d’un million d’euros versée en 2018 par le Conseil départemental pour un projet de construction d’une maison médicale à Mantes-la-Jolie. Si ce n’est que ledit projet est porté par une société civile immobilière détenue par le beau-frère de Bédier ainsi qu’un promoteur immobilier. le signalement, qui a été émis en avril dernier, porte sur les conditions d’attribution de cette subvention. Anticor insiste sur les trois postes de Bédier en 2018. Il était président du conseil départemental, président du conseil de surveillance des Résidences Yvelines Essonne et conseiller municipal de Mantes-la-Jolie.
Déjà condamné dans d’autres affaires
L’association Anticor s’interroge afin de savoir dans quelle mesure Bédier «pourrait-il avoir influencé et facilité […] l’octroi d’une subvention puis le rachat par une entreprise sociale de l’habitat de 22 logements à la SCI de son beau-frère et d’un associé avec qui il a personnellement créé une autre entreprise?». Contacté par l’AFP, le Conseil départemental des Yvelines n’a pas souhaité réagir. Il faut rappeler que Pierre Bédier a déjà eu affaire à la justice. Il a été définitivement condamné, en 2009, à dix-huit mois de prison avec sursis et six ans d’inéligibilité alors qu’il était maire de Mantes-la-Jolie pour «corruption passive» et «recel d’abus de biens sociaux».
un de plus et les « con.tribuables » paieront…..
Depuis 2009 qu’il traine des casseroles et les gens le réélise…..
il manque depuis toujours un additif a la loi
un casier judiciaire vierge pour être éligible
on peu penser que la grande majorité des élus sont susceptibles d’être condamné , puisqu’ils refuse de voter cet additif.
Bien vu, Patrick.