Les habitants du Creusot en Saône-et-Loire ont été confrontés à une scène d’horreur ce dimanche après-midi, lorsqu’un promeneur a aperçu ce qui semblait être un demi-corps humain dans une rigole le long de l’avenue qui fait office de rocade. Les forces de l’ordre et les secours dépêchés sur place ont confirmé que seule la partie inférieure d’un corps, allant de l’abdomen aux pieds, flottait dans l’eau, mettant en évidence un état de décomposition avancé.
Hypothèses et questionnements
La proximité du cimetière Saint-Eugène a alimenté plusieurs hypothèses, dont celle selon laquelle de fortes pluies récentes auraient pu déplacer des restes humains depuis des sépultures anciennes. Cependant, cette hypothèse semble peu probable en raison des nombreux obstacles physiques à surmonter. Par ailleurs, aucun signalement de disparition inquiétante ne correspond à cette découverte, hormis un cas à Montceau-les-Mines, qui semble sans lien avec l’affaire.
La découverte de la partie manquante
Les recherches menées par la police le lendemain ont permis de retrouver la partie supérieure du corps. Cette découverte n’a toutefois fait qu’ajouter au mystère autour de l’identité de la victime et des circonstances de son décès.
Une attente angoissée de réponses
Les enquêteurs, déterminés à élucider cette affaire, ont entrepris une fouille minutieuse de la zone à la recherche d’indices. En parallèle, une autopsie est en cours à Dijon (Côte-d’Or) pour répondre aux nombreuses questions : » qui était la victime, quand et comment est-elle morte, et surtout, comment son corps a-t-il pu être retrouvé coupé en deux dans un endroit aussi exposé ? « La communauté attend avec appréhension les résultats de l’autopsie, essentiels pour comprendre cette histoire tragique et rendre justice à la victime.
Encore des horreurs de déchets, je suis persuadé qu’ils sont connus de la police mais que les juges se sont permis de laisser libre, comme d’habitude…..
Oui, ça me rappelle le Dalhia noir et cet article d’un journal : « Le mystère de la femme coupée en deux reste entier ».
Le troisième morceau de la femme coupée en deux, n’a jamais été retrouvé non plus ?