Un enfant de 5 ans a été grièvement blessé par balles lors d’une fusillade en pleine rue fin octobre, à Pacé, près de Rennes,. Ce drame, lié à un règlement de compte sur fond de trafic de drogue, a profondément choqué la communauté locale. Les autorités judiciaires ont rapidement ouvert une enquête pour faire la lumière sur les circonstances de cet incident.
Une fusillade aux allures de règlement de compte
Un samedi soir d’octobre a pris une tournure tragique lorsque des coups de feu ont retenti entre Vezin-le-Coquet et Pacé, blessant un enfant et révélant les sombres enjeux du narcotrafic à Rennes. Alertées par cet acte violent, les autorités ont immédiatement lancé des enquêtes approfondies, confirmant un lien probable avec le contrôle territorial des trafiquants dans le quartier de Maurepas.
Des arrestations et des sanctions judiciaires
Les investigations ont conduit à l’arrestation de 6 individus lors de deux opérations distinctes. Trois ont été appréhendés le 1er décembre et les trois autres le lendemain. Ces personnes, déjà connues des services de police pour trafic de stupéfiants, sont également suspectées d’avoir participé à d’autres actes de violence résultant de la lutte pour le pouvoir dans le milieu du trafic de drogue local.
Des accusés face à la justice
Le 4 décembre, quatre des six interpellés ont été présentés devant la justice. Trois d’entre eux, dont deux âgés de 21 ans et un de 22 ans, ont été mis en examen pour tentative d’homicide volontaire en bande organisée et association de malfaiteurs. La quatrième personne a été placée sous le statut de témoin assisté. Les individus mis en cause ont été placés en détention provisoire, confirmant la gravité des charges retenues contre eux.
Quant à l’enfant victime de la fusillade, bien qu’il ne soit plus en danger de mort, il pourrait subir des séquelles permanentes suite à cette altercation violente.
Le ministre de l’Intérieur s’est exprimé sur cette affaire lors d’une visite dans la ville le 1er novembre, déclarant sa détermination à combattre énergiquement les « narcoracailles ».
Des petits anges, surement ?
Encore et toujours Rennes !
C’est dirigé par qui la mairie ?
Les mêmes qui ont laissé le tchétchène en France et qui a tué Dominique BERNARD à Arras !
Bravo, une belle brochette de racaille vendue…
Pauvre gamin.
Est-ce la faute des maires ?
Ces élus qui ont de moins de moyens alors que leur ministre de tutel se déplace avec 2 voitures de protection et 6 motards
De nombreux maires ne veulent plus se représenter
Ici en province pour 7000h sur 19 communes égale ou double de Paris c est 11 gendarmes
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