Une influenceuse tuée d’une balle dans la tête par son mari, juste avant noël

Theresa Cachuela, 33 ans, influenceuse beauté sur Instagram où elle comptait près de 20 000 abonnés, a été tuée d’une balle dans la tête, par son mari, vendredi 22 décembre, sur le parking du centre commercial Pearlridge Center, à ‘Aiea, dans l’État d’Hawaï, aux États-Unis. L’homme était connu pour être violent et possédé des armes.

Tuée d’une balle dans la tête devant leur fille de 8 ans

Theresa Cachuela, 33 ans, a été tuée par son mari, vendredi 22 décembre, sur le parking du centre commercial Pearlridge Center, à ‘Aiea, dans l’État d’Hawaï, aux États-Unis. Cette dernière, influenceuse beauté sur Instagram où elle comptait près de 20 000 abonnés, vivait avec ses trois enfants, Waipahu, selon Honolulu Star Advertiser.

L’homme a abattu sa femme d’une balle dans la tête, sous les yeux de leur fille de 8 ans. Il a ensuite pris la fuite, avant que son corps ne soit retrouvé à 7 km de l’endroit où il a commis son crime. La piste du suicide est privilégiée. Il n’avait pas de casier judiciaire, cependant, la victime avait obtenu une mesure d’éloignement contre lui, depuis le 8 décembre.

Elle avait demandé de l’aide à des associations

Quand la mesure d’éloignement a été accordée, il a bien été précisé par les autorités que le meurtrier plusieurs armes à feu à son domicile. Le 21 décembre, deux jours avant les faits, durant une audition, la mesure d’éloignement a été prolongé, mais il avait le droit de rendre visite à ses enfants.

Pour fiancer les funérailes, Lucita Ani-Nihoa, la mère de la victime, a lancé une cagnotte en ligne. Le jour du meurtre, elle devait retrouver sa fille dans ce centre commercial, pour faire les achats de Noël. Elle raconte aussi que sa fille s’était confiée sur les violences qu’elle subissait. Elle avait même demandé de l’aide à des associations de soutien aux femmes victimes de leur conjoint. « Elle voulait le quitter, mais il ne l’acceptait pas. Il essayait de la contrôler dans tous les domaines… où elle allait, ce qu’elle faisait », raconte sa mère. Quant à l’enfant de 8 ans, « elle n’y croit pas. Elle ne croit pas que sa mère est partie. Je n’y crois pas ».