Les chefs de partis qui composent le Nouveau Front républicain savent qu’Emmanuel Macron va se décider rapidement pour nommer un Premier ministre. En s’alliant avec le Rassemblement national pour faire tomber le gouvernement de Michel Barnier, la gauche arrive en rangs dispersés devant l’Élysée. Ainsi, afin de négocier avec la présidence, plusieurs partis de gauche tente de s’accorder pour signer une pacte de «non censure».
Des consultations mais un choix qui semble être déjà fait
Jeudi 5 décembre, le chef de l’État s’était entretenu avec les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. Vendredi, il rencontre les dirigeants du bloc central et des Républicains qui formaient le «socle commun». Comme auparavant, il est plus que probable que Sébastien Lecornu rencontre Marine Le Pen de son côté. Dans la matinée de vendredi, Macron a rencontré aussi les dirigeants du PS qui souhaitent des discussions avec tous les partis hormis les LR et le RN. Dans la matinale de France Info, vendredi matin, Olivier Faure indiquera: «Je suis prêt à venir discuter de tous les sujets et voir ce qu’il est possible de faire sur une durée limitée». Soutenu par les écologistes, pourtant très proches des insoumis, le PS, représenté par Olivier Faure, Boris Vallaud et Patrick Kanner, veut aborder la question d’un accord de «non censure» afin d’éviter la situation que la France vient de connaître.
Un élargissement du bloc central
Les socialistes et les écologistes souhaitent ainsi envoyer à Matignon un élu de gauche ou apparenté mais sous surveillance du bloc central qu’ils intégreraient. Un moyen aussi pour Faure de prendre ses distances avec Jean-Luc Mélenchon. Il serait prêt ainsi à négocier directement avec Renaissance, Ensemble pour la République, Horizons et le Modem; c’est à dire ceux qu’on appelait «la macronie» il y a peu. Selon les calculs des socialistes, cette solution permettrait d’éviter une censure même si les insoumis, le RN et les LR faisait bloc contre un texte du futur gouvernement. Changement de discours donc pour le Premier secrétaire du PS qui ne voulait pas entrer au gouvernement en juillet. Sur France Inter, jeudi, il va déclarer: «Nous ne pouvons pas appliquer tout le programme rien que le programme. Ça suppose que nous entrions en dialogue avec ceux qui seront au Parlement. Je ne veux pas simplement témoigner ou protester, je veux gouverner».
Salut les fachos. c’est Beau la critique mais pourquoi dddddjordan Bardet est pas la à l Europe ne prend-t-il pas la place ? Ah non il préférait rester dans l’opposition c’est plus confortable, c’est la position des petits bourgeois : on envoie les autres au casse pipe et on récolte les fruits après triste France
Demander le programme, demander le programme, … euh …, bon .., eh bien …,
vous comprenez … l’incarnation …, le programme … :
– c’est nous les « has been »
La soupe est bonne, les pros se pressent pour y aller… Le couillon paiera.