Les propos ambigus du leader de La France insoumise, ainsi que nombre de ses députés comme Thomas Porte, Clémence Guetté ou Rima Hassan à Bruxelles, ne font qu’attiser la haine en France. Alors que la Nupes s’était déchirée à cause de l’absence de volonté de qualifier le Hamas de mouvement terroriste, le NFP risque tout autant suite au silence constant des insoumis sur les actes antisémites sur le territoire national.
Fabien Roussel demande à Mélenchon de «clarifier ses positions»
Lundi 26 août, sur RMC, le patron des communistes n’a pas caché son agacement face à la discrétion de ses alliés politiques insoumis après l’attentat contre la synagogue de la Grande-Motte samedi dernier. Ainsi, sans les nommer, le Premier secrétaire du PCF a demandé au leader de l’extrême gauche, ainsi qu’à ses élus, de préciser leurs pensées, considérées par beaucoup comme profondément antisémites. Cet antisémitisme va de pair avec des discours violents contre les forces de l’ordre ou visant la population chrétienne, voire l’héritage chrétien de la France. «J’aimerais bien que Jean-Luc Mélenchon et d’autres de ses députés qui n’ont pas été clairs sur ce sujet clarifient leurs positions», demandera Fabien Roussel au micro de RMC.
Des mots «bannis» du vocabulaire de Mélenchon
Roussel n’a pas été seul à formuler cette demande. Marine Tondelier, patronne des Écologistes a, elle aussi, demander «à reconnaître des faits». Pour le leader communiste, Mélenchon ne mentionne jamais les mots «antisémitisme» et «juif». Dans un entretien sur RTL, Marine Tondelier a considéré dimanche qu’il «y a eu beaucoup d’actes antisémites ces derniers mois et sur certains, le mot «antisémitisme» est à poser très clairement. Quand quelqu’un pose une bombe dans une synagogue, il n’y a aucun débat à avoir sur le caractère antisémite». Pour rappel, LFI avait été aussi interpellée de la même façon après le viol barbare d’une petite fille juive de 12 ans à Courbevoie par trois individus qui avaient revendiqué ce crime parce qu’elle avait fait mention de sa religion à l’un d’eux.
À vrai dire si on regarde bien l’Histoire ce brave Staline dont Melenchon est l’un des suiveurs, était un peu moins pressé d’en finir avec les juifs que son copain Adolph, mais les pogroms ne le dérangeaient pas. Lorsqu’on sait que Engel, le petit copain de Marx, inventeur du génocide voulait supprimer Juifs, Gitans, Hongrois, Bretons et Basques, que le reste des Français soit visé semble logique, tant qu’on y est…