Selon le ministre de la Santé, il ne pouvait pas expliquer une telle loi. Il estime que, lui qui a commencé sa carrière politique au Parti communiste avant de rejoindre le Parti socialiste, le texte voté par l’Assemblée n’est que la reprise des idées du Rassemblement national. Il trouvera un soutien fort de la part de Fabien Roussel, patron du PCF, qui estimera que «c’est un choix extrêmement courageux».
La démission de Rousseau, un «non-événement» pour Élisabeth Borne
Devant une telle réaction, on comprend mieux que les cinq autres ministres qui ont tenté ce genre de chantage auprès de Matignon se soient rétractés dans l’instant. On peut citer Clément Beaune, ministre des Transports, qui a expliqué, lors d’une visite à la Région Île-de-France, qu’il y avait un temps pour tout et qu’il reviendra «plus tard, sur ces questions». Les trois autres ministres, dont Sylvie Retailleau et Patrice Vergriete, rasent les murs. Hormis le fait que cette loi les met «mal à l’aise», ils ne fourniront aucun autre commentaire.
Pour Fabien Roussel, il est temps de réunir la gauche de la macronie au sein de l’ex-Nupes
Le patron des communistes espèrent voir grossir ses rangs mais il est très peu probable que les anciens membres du PS ou du PCF reviennent dans un parti ouvertement de gauche. De plus, il faut noter que sur 170 députés Renaissance, 131 ont voté pour, 20 ont voté contre et 17 se sont abstenus. Roussel va tenter de jouer sur la corde usée de la lutte contre le RN. Il dira ainsi que lors des dernières législatives, «certains d’entre eux étaient face à des députés du Rassemblement national, ils étaient élus en rempart contre l’extrême droite (…). Aujourd’hui, ces députés se rendent compte que ces digues sont en train de tomber et que cette majorité sert plutôt de marchepied à l’extrême droite». Il espère donc que tous les élus déçus du macronisme «se rapprochent dans les heures, dans les jours qui viennent, pour construire le rassemblement républicain progressiste le plus large».
Qu’il démissionne, bon débarras, des gauchistes pourris j’en ai ras le bol…..
Loi immigration ou « quand les minorités font la loi ». Dites-vous bien français que cette loi immigration, il vous faut mieux l’oublier. Pensez à demain si vous voulez garder votre optimisme. Les pays européens qui nous entourent sont comme nous et commencent à se rebiffer contre le phénomène. Trop, c’est trop. L’U.E. bien entendu, ne l’entend pas de cette oreille et compte bien nous imposer cette gangrène, ce chaos. Par conséquent, cette Europe ne correspond plus à nos aspirations et c’est vers elle qu’il faut désormais se tourner et la renverser. Les peuples européens doivent s’entendre et demander une changement radical de l’Europe. Il n’y a plus que ça qui puisse nous sauver ou alors, s’en échapper. Tant pis pour l’Europe, elle aura vécu.