«Un bilan solide»
Dans une interview donnée au Journal du Dimanche le 14 mai dernier, Élisabeth Borne dit volontiers qu’elle sort d’une année intense mais dont le bilan «est solide». Elle avertit d’ores et déjà celles et ceux qui voudraient «prendre sa place» qu’elle n’a nullement l’intention de partir et, au contraire, veut continuer à avancer. Durant son voyage à la Réunion, qui a été moins simple que prévu, elle expliquera que «depuis un an, je m’emploie à apporter des réponses concrètes pour répondre aux défis considérables du pays auxquels notre pays fait face. Je veux continuer à relever ces défis, et j’y mettrai toute mon énergie et ma détermination».
Elle ajoutera: «Je n’ai pas de doute sur le fait que certains se verraient bien à ma place» mais «avancer, c’est la seule chose qui m’importe». Quand on lui demande ce qu’elle pense de Gérald Darmanin, à qui on prête l’ambition de remplacer Borne dans ses fonctions, elle bottera en touche en louant ses qualités professionnelles et son engagement. Au-delà de cette question, il reste l’essentiel: comment réformer sans majorité à l’Assemblée. Elle reconnaîtra que c’est la plus grande difficulté.
La rupture du dialogue avec les partenaires sociaux
Cela semble être son seul regret malgré l’utilisation à onze reprises du 49.3. Elle admettra ainsi qu’elle aurait «évidemment préféré qu’on puisse davantage avancer avec les partenaires sociaux». Elle dira avoir à cœur de pouvoir «reprendre rapidement le dialogue». Si les syndicats ont accepté de retrouver la Première ministre les 16 et 17 mai, elle insiste sur le fait que cette réunion se fera «sans ordre du jour» afin de laisser le plus d’amplitude aux sujets avancés par les centrales.
Anne ta réponse est nulle , ce n’est pas une analyse que tu propose mais du venin gratuit. Quant on n’est pas capable d’en faire autant, on se calme !
Il faudra un jour faire preuve d’honnêteté. Qui peut dire comment et quelle personne aurait pu faire mieux dans les circonstances actuelle avec une majorité relative ? Il faut arrêter ces critiques permanentes, stériles , politiciennes.
Elle à pris c’est responsabilités dans l’intérêt de notre système de retraite future.
Il faut quelle reste aux affaires et aux nos médiats d’arrêter de balancer des polémiques qui pourrissent notre vie. Confiance à ce gouvernement.
Comme personne n’est parfait en ce bas monde, Elizabeth Borne a au moins de la volonté pour mener la politique gouvernementale en toute démocratie, préférant » l’État régalien et l’État stratège, qui ont été cannibalisés par l’État-providence « . (Nicolas Baverez dans Le Point).
Certes, cette affirmation est trop radicale, mais il faut un peu de ces 3 formes d’État, au profit quand même des 2 premières. Un dosage très subtil pour tout gouvernement.
Une chose est sûre c’est que: « le mélanchar au pouvoir, la France c’est le Vénézuela en 6 mois » (Eric Brunet sur RMC il y a quelques petites années). Et des gens ont voté pour cet abruti…le résultat ne surprend personne!!!
C’est la dame elle même qui dit que son bilan est solide…
On a des doutes..
Bien sûr qu’elle s’accroche à son poste…Bof!