Il a alors annoncé le vote d’une loi d’urgence afin d’accélérer la reconstruction des bâtiments, du mobilier urbain et des moyens de transport détruits par les émeutiers. Le président de la République a déclaré: «On a un problème de délais. Nous allons présenter une loi d’urgence pour écraser tous les délais, avoir une procédure accélérée pour reconstruire beaucoup plus vite».
Comme souvent, une déclaration sans précision sur les moyens ni le calendrier
Si les pillages et les saccages des villes continuent encore une semaine après le décès de Nahel, les maires estiment que le gouvernement les a laissés seuls face à ce déferlement de violence totalement inédit. Lors de cette réunion à l’Élysée, bien qu’il ait pris le temps d’écouter les maires présents mardi dernier, les propositions de Macron semblent bien maigres par rapports aux attentes des édiles des communes touchées par les émeutes. Il tentera de les rassurer en indiquant qu’«on va être extrêmement ferme et clair avec les assureurs commune par commune». Il a ainsi promis un accompagnement des collectivités «pour très vite pouvoir réparer» le matériel de vidéosurveillance cassé, ainsi que des aides financières aux villes pour les réparations concernant «la voirie, les établissements communaux, les écoles».
Il faut que, dans l’absolu, tout soit prêt pour la rentrée de septembre, soit des chantiers qui vont durer tout l’été. Malheureusement, on peut observer ici un retour du «quoi qu’il en coûte», cher à Macron, qui consiste à utiliser plus que de raison les finances de l’État pour tenir ses promesses. Il a donc promis de «travailler» pendant l’été «pour déboucher sur des solutions très concrètes». Il a ajouté: «On ne doit pas laisser la pâte retomber», évoquant un «point d’étape» avec les maires à «la fin de l’été». Afin d’apaiser la colère des maires qui attendaient surtout des mesures concrètes en matière de sécurité, le locataire de l’Élysée a décidé de «remettre les maires au cœur des décisions d’attribution des logements sociaux de leurs villes». Compétence qui était passée sous le joug des préfectures et où la mairie n’était devenue qu’un organe d’enregistrement des demandes de logements sociaux.
Pour le Medef, il y a pour l’instant 1 milliard d’euros de dégâts
Le calcul du Medef permet de voir l’impact des pillages et des destructions sur les biens publics et privés. Alors que Macron, ici, ne parle d’aides que pour les biens publics. Toutefois, sans les commerces et les PME qui ont été saccagés, il va être très difficile pour ces villes de proposer une vie normale à leurs habitants.
J’ignore comment procéder, mais il serait urgent de lancer une pétition pour dire « NON ! JE RE FUSE QUE MES IMPÔTS SOIENT UTILISES POUR PAYER A LA PLACE DES CASSEURS, VOLEURS et INCENDIAIRES »
Quand M. Macron aura ENFIN le courage de VIRER de France tous ces clandestins et d’expulser tous ces étrangers illégaux qui se trouvent en prison. Ça ferait de la place. Et STOP à cette folle immigration et aux rapatriements de personnes qui haïssent la France.
QUI va payer???? Les voyous ne sont pas solvables!!! Comme disait guighollande: « c’est pas vous, c’est l’état qui va payer »!!! Continuez à bosser pour les migrants, les étrangers, que l’on loge et nourrit, qui ne sont là que pour se taper de la française et tendre la main pour palper des prestations, et les parents de leur racaille n’en ont rien à cirer…ils ont des droits et la France est lâche!!
Ils n’ont cas se servir sur les primes et les nouvelles de plus en plus augmentées et alloc de toutes sortes, c’est incroyable que ce gvt ne fasse rien pour apaiser les français
surtout pour ceux qui ont été impacté, mais avec ce gvt de guignols ils ne feront rien de répréhensible contre les casseurs ce qui fait qu’ils pourront recommencer, mais les français ont choisi le roi de l’hypocrisie qu’ils assument….!!