Le 31 décembre, le Président de la République a présenté ses vœux à la Nation. C’était une de ses plus courtes interventions télévisées. Il a ainsi prix huit minutes pour avouer l’échec de la dissolution mais surtout pour annoncer qu’il allait «redonner la parole» aux Français par le billet de référendums ou de conventions citoyennes sur des « sujets déterminants » en 2025. Cependant, le referendum est consultatif. Nous l’avions vu en 2005 quand Jacques Chirac avait demandé aux Français de s’exprimer sur la Constitution européenne alors rejetée par 55% des votants. Échec pour le président, échec pour les grands partis mais ce sera aussi un échec pour les Français qui ne seront pas écoutés.
Face aux «divisions de l’Assemblée», le référendum comme seul recours
Lors de son allocution télévisée, le chef de l’État a admis que «la dissolution a apporté davantage de divisions à l’Assemblée que de solutions pour les Français». Il a alors affirmé vouloir «redonner la parole» aux électeurs. Emmanuel Macron a ainsi annoncé son intention de leur demander de «trancher» des «sujets déterminants» en 2025, évoquant d’éventuels référendums ou conventions citoyennes. Si ces termes n’ont pas été clairement prononcés le soir du 31 décembre, son entourage les confirmera sur le plateau de BFMTV.
Les oppositions veulent revenir sur la réforme des retraites
Pour Fabien Roussel, PCF, «en 2025, Macron découvre la démocratie. Après avoir refusé obstinément le référendum sur la réforme des retraites, Macron envisage de consulter les Français. Nous ne manquons pas d’idées à lui soumettre», ironisera-t-il. Emmanuel Macron avait déjà évoqué l’idée d’un recours au referendum dans le cadre de l’environnement, de la fin de vie, de l’immigration ou encore de la réforme des retraites. Côté RN, son porte-parole, Aleksandar Nikolic salue un «nouvel espoir» pour la démocratie et ajoutera: «Si on ne change pas le mode de scrutin et si on ne passe pas à la proportionnelle avec prime majoritaire, […] on sera toujours bloqué». Manuel Bompard, coordinateur de La France insoumise, se montrera bien plus radical: «Acculé, Macron reconnaît lui-même ce soir qu’il est le problème». «Il ne suffit pas de reconnaître sa responsabilité, il faut en tirer toutes les conclusions politiques : partir».
Qui sera le premier couillon à se faire piéger et se faire rouler dans la farine ?
ON NE FRICOTE PAS AVEC MAC’RON !
Comment peut-on encore croire en un homme qui est capable de dire le contraire de ce qu’il a dit la veille en sachant qu’il dira encore autre chose le lendemain.
Après 7 ans1/2 de Macron il à suffisamment abîmé le pays qu’il devrait avoir un peu de panache et penser à ce retirer de la scène politique.
Quand en 1969 le général s’est fait signifier le désaccord de sa politique par référendum, il a écouté le peuple et à quitté sa fonction présidentielle.
Ont ne va pas comparer un nain avec un géant !!!
Il n’a pas encore compris que les Français veulent qu’il dégage ??? Quel con !!!
Bla, bla, bla ! Il ne sait faire que ça, il prend la France pour une scène de théâtre où il joue le rôle dont il a rêvé : le dictateur ! Mais ce charlot est beaucoup moins drôle ! Il ne fait jamais ce qu’il promet, voire il fait l’inverse ou il laisse les choses pourrir d’elles mêmes. Du moment qu’il a parlé, c’est comme si c’était fait, il continue sur sa lancée (de voyager, de recevoir, de mener la grande vie royale ou impériale). Cet homme a pris la grosse tête, se croit au-dessus de tous, il est mentalement malade à un stade très avancé.
Cà sent l’embrouille !
sacré micron, toujours aussi incompétent (en un seul mot) ! 🙁
Il n’a jamais parlé de référendum. Il va encore faire le même coup que pour les gilets jaunes, des baratins à droite et à gauche dans le pays, et plus rien à la fin « il aura compris » (qu’il dira), mais ne bougera pas.
Vous avez tout-à-fait raison, jamais il ne s’aventurerait à faire un référendum qui à coup sur le désavouerait. Il va nous sortir une de ses « conventions citoyennes » dont il à le secret, avec public trié parmi les siens et questions/réponse imprimées à l’avance. Un faux-cul ne change jamais.