Le ministre de l’Intérieur a ajouté que 1300 personnes fichées S appartiennent à l’ultradroite et 5300 aux milieux islamistes. Ces révélations ont été faîtes lors de son audition devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les groupuscules violents. Elles sont considérées comme inédites de la part d’un ministre de l’Intérieur.
Gérald Darmanin donne une définition précise d’une fiche S
Comme il l’a expliqué devant les députés, une fiche S ne désigne pas «quelqu’un qui commet obligatoirement des actes répréhensibles, mais quelqu’un qui peut être en contact, qui finance, ou qui est en lien très serré avec quelqu’un qui pourrait le faire». Se concentrant sur l’ultragauche qui est le mouvement le plus dangereux surtout pour les forces de l’ordre, Darmanin explicitera son propos en prenant exemple sur les mouvements écologistes radicaux comme Les Soulèvements de la Terre, les black blocs, les manifestants vus à Sainte-Soline ou encore les zadistes de Notre-Dame-des-Landes.
S’il est revenu rapidement sur les deux autres groupes, les 1300 fichées S de l’ultradroite et les 5300 classés islamistes radicaux, il voudra détailler le profil des 3000 personnes fichées S de l’ultragauche. Il dira ainsi qu’il s’agit en grande majorité «des avocats, des médecins, jamais l’ouvrier en colère de l’usine qu’on ferme». Il ajoutera aussi qu’il s’agit des «enfants de bonne famille». Pour lui, beaucoup de militants d’ultragauche «appartiennent aux catégories CSP+ de la société». Cette commission avait pour but d’éclaircir, entre autre, la notion de fiché S qui, pour un certain nombre de spécialistes, serait utilisée avec une certaine imprécision tant les profils sont hétérogènes.
Le monopole de la violence légitime
Devant la commission d’enquête, le locataire de la Place Beauvau est revenu aussi sur les violences qui ont émaillé les manifestations liées à la réforme des retraites. Si la Ligue des Droits de l’Homme avait souligné, dans un rapport, la responsabilité de l’État ainsi qu’un «usage disproportionné des armes», Darmanin répondra que «la question n’est pas de savoir» si les forces de l’ordre «ont le droit d’utiliser cette violence. Elles ont le droit». Il conclura en disant qu’il faut «accepter l’idée qu’ils [les policiers, NDLR] utilisent la violence pour faire respecter les règles de droit».
5300 muzes???!!! C’est bien, on n’a plus qu’à attendre qu’ils coupent encore de têtes ou qu’ils mitraillent dans une école! Et même là, on les gardera bien au chaud dans nos prisons avec menus choisis, salle de sport, balade récréative, permission de spectacle, etc, etc…!!!
et journée de Karting pour qu’ils puissent s’amuser à maitriser la vitesse des véhicules à leur sortie de prison en refusant d’obtempérer.
5300 gnouls???!!! C’est bien, on n’a plus qu’à attendre qu’ils coupent encore de têtes ou qu’ils mitraillent dans une école! Et même là, on les gardera bien au chaud dans nos prisons avec menus choisis, salle de sport, balade récréative, permission de spectacle, etc, etc…!!!
Donc on surveille une catégorie de complices de terroristes et on attend qui agissent?!?!?!