Il expliquait alors que Macron était «hors-sol» et relevait tous les domaines où le président de la République était, selon lui, défaillant, notamment en matière de gestion des Finances publiques. Dans un entretien donné à la Tribune du Dimanche, Larcher maintient ses propos et se montre sans concession à l’égard du locataire de l’Élysée.
Une possible motion de censure à l’automne
Malgré son respect pour les institutions républicaines, le président de la Chambre haute du Parlement n’aura pas de mots assez durs à l’encontre du chef de l’État. Pour Gérard Larcher, il y a trois sujets principaux où Macron est complètement défaillant. Tout d’abord, l’école, qui s’est «beaucoup dégradée» selon le sénateur des Yvelines, puis le secteur de la santé, qui est «une très grande préoccupation des Français», et, enfin, «l’autorité de l’État». Le président du Sénat a particulièrement insisté sur les questions budgétaires et l’incroyable déficit actuel de l’État. «La France décroche. La situation de nos finances publiques est l’échec le plus cuisant de ces sept dernières années», assènera-t-il avec détermination.
Macron reste fermé à toute proposition venant de la droite
C’est le sujet qui sera le plus discuté lors de cette interview. L’état des Finances publiques inquiète les responsables politiques comme jamais. Avec 3.200 milliards d’euros de dette, et une explosion de celle-ci sous la présidence de Macron, Gérard Larcher aurait aimé que son parti soit écouté sur certains points. En ligne de mire, les sept milliards d’économie que Bercy doit atteindre cette année. Ici, il n’hésitera pas à menacer le gouvernement d’une motion de censure dès l’automne.
Contrairement aux précédentes, elle aurait toutes les chances d’aboutir puisque tous les partis d’opposition, du RN à LFI, ont assuré la soutenir si les LR la présentait. Le sénateur expliquera que «la décision d’une censure appartient aux députés. Mais si la trajectoire pour 2025 ressemble à celle qui nous a été proposée en 2024, je ne vois pas comment on pourra l’accepter». Selon lui, Macron n’a que deux solutions: «Soit il est capable de recomposer une majorité et de partager une trajectoire de redressement du pays, soit il dissout. C’est à lui que la décision appartient».
Ah il l’aime la saucisse Larcher , elle est bonne la cantine !!
Quand je pense que ces pourris de la cgt ont compensé la réforme de la retraite en arrachant à la sncf des avantages immoraux aux cheminots!!!! La France n’a pas d’argent mais il y a quand même des raclures qui s’engraissent!!! FUMIERS !!!
ça panique partout !
vivement le 9 juin !!!
Un complice de la macronie qui veut enfumer le peuple parce que son parti sent déjà le roussi pour les élections du 9 juin.
Aux urnes citoyens, boutez dehors tous ces profiteurs des cinquante dernières années gras comme des cochons à l’engraissement qui s’éveille à 25 jours des élections qu’il va perdre. Bien que le représentant de tout le groupe de son parti ait été humilié à l’Assemblée Nationale par un ministre macronien a continué collaborer avec ce parti et son président hautin, méprisant, insolent, arrogant et déséquilibré puisse qu’il se croit le maitre du monde et veut faire la guerre; Dehors ces deux partis si on veut la paix;
Les parlementaires et le sénat sont les premiers à s’augmenter et refuser de baisser leur salaire
après , ils viennent nous faire la morale et dicte des conseils pour abaisser la dette !!
qu’ils commencent par eux !!!
Bien dit! Porcinet se moque des contribuables
« la politique, c’est le plus vache des métiers. Ya pas de sécurité ! Va donc savoir si on n’est pas battu aux élections ? Et quand ça arrive, on est foutu de perdre la tête et de s’mettre à travailler pour gagner sa croûte » (Charles Williams)
Je pense que l’oncle Sagamore de Charles Williams dans « aux urnes les ploucs », voyait juste : entre gros salaires, magouilles douteuses, pots de vin abondants, nos cherzélus ne veulent surtout pas risquer de perdre la poule aux oeufs d’or ! Le seul élu (socialiste) que j’ai connu au lycée a eu les sujets du bac une semaine avant, par l’OAS, même que Jeanine sa copine râlait qu’il ne les lui ait pas passés ! Alors je me méfie.