Les électeurs du PS avait déjà dénoncé l’accord avec LFI. Mais, c’est bien au sein même du parti de Mélenchon que les tensions sont au plus haut. Il y a d’un côté le refus d’investir les députés historiques comme Alexis Corbière, Raquel Garrido et Danielle Simonnet par le leader de l’extrême gauche. De l’autre, il assume des candidatures de personnalités ouvertement anti-France, anti-Blanches comme Aly Diouara ou qui baigne dans l’ultra violence comme Raphaël Arnault.
«Cohérence politique» et «loyauté»
Dans un entretien accordé à nos confrères de 20 minutes donné dimanche dernier, Mélenchon est revenu longuement sur ses choix politiques pour cette campagne. Quand il a été question de cette «purge» au sein des insoumis, le leader du parti d’extrême gauche répondra que «la cohérence politique et la loyauté dans le premier groupe parlementaire de gauche sont aussi une exigence pour gouverner». Il ajoutera que «les mêmes qui pleurent n’ont pas protesté quand la commission électorale les a parachutés dans leur circonscription autrefois contre l’avis des militants locaux». Leur crime est d’avoir critiqué publiquement certaines prises de position de chef suprême.
Afin de s’assurer qu’ils ne se présentent pas dans leur circonscription, il mettra de nouveaux candidats étiquetés LFI/Front populaire. La question sur sa volonté d’être Premier ministre lui a été une nouvelle fois posée. Ici, il aura une réponse qui pourra surprendre: «Matignon n’est pas un sujet existentiel. Je ne suis pas en train de construire une carrière. Les insoumis ont produit des dirigeants capables. Quand Léon Blum devient chef du gouvernement en 1936, il n’est pas au niveau de Manuel Bompard, ni de Mathilde Panot ou de Clémence Guetté, il était critique d’art et dirigeant marxiste du Parti socialiste».
Il laissera peu de place aux autres figures de son parti
Sur France 3, dimanche, Mélenchon a déclaré que «c’est aux partis politiques qui constituent la coalition» de gauche de «prendre la bonne décision». «Les gens ont répété pendant des jours et des jours que j’étais clivant. On m’a accusé de tout et n’importe quoi, d’antisémitisme, de ceci, de cela (…). Je ne serai jamais le problème, je serai toujours du côté de la solution». S’agissant de François Ruffin à Matignon, le leader des insoumis estimera que «c’est une réponse qui lui appartient entièrement». «Je l’ai vu dire “Je suis prêt”», a-t-il indiqué. Et d’ajouter: «Un gouvernement, ce n’est pas une bande de potes, ce n’est pas un arrangement entre courants. Il s’agit de pouvoir encaisser le choc de gouverner. C’est le pire des postes, Matignon».
Franchement, Bompard, je le croise dans une rue sombre la nuit, je détale en courant et je fais peut-être bien.
Adolphe MélanCon, est non seulement dangereux, il est ordurier
Tient! le hargneux qui fait monter le RN chaque fois qu’il parle, est encore venu dire des aneries? Il la veut vraiment la place de premier ministre! Dien nous en préserve!
En résumé -Mélenchon = homme riche qui met en péril notre démocratie et notre libre pensée –
Homme riche, ignorant totalement ce que « gagner sa vie » peut bien vouloir dire. En dehors de quelques articles et de quelques illustrations dans une sorte de fanzine dans lequel il a participé étant étudiant, il a toujours attendu la manne céleste en fin de mois sans trop se tracasser. Défilant en tête de manifestation avec son mal rasé et son énorme tardigrade, il entendait bien les « allah akbar » et les « mort aux juifs » derrière lui. Il ne peut pas dire qu’il ne savait pas. Se prenant pour Robespierre, je suppose qu’il a la flemme d’imposer le culte de l’Être Suprême, alors il se rabat sur l’islam vu le nombre de chouffeurs, de charbonneurs de dealers et de tueurs à gages, ça lui donne des chances.